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, et d’une manière irréversible. On en vient à la
notion
de groupement de communes : quelque chose d’assez grand pour la liber
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la polis, romains avec la civitas (fondée sur la
notion
juridique de civis ou citoyen), chrétiens (la paroisse), germaniques
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rces, la Grèce a donné la polis, le citoyen et la
notion
d’individu ; Rome, les institutions, l’État ; le monde germanique, le
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rmanique, les communautés ; le monde chrétien, la
notion
de personne et d’un autre type de communauté interpersonnelle ; enfin
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et comment elles se sont développées ensuite. La
notion
d’État a une genèse que l’on peut retracer. Connaître la genèse de l’
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tion (dont procède l’“Empire” napoléonien) est la
notion
d’empire (dont l’exemple est le Saint-Empire) basée sur l’universalit
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, les réalités régionales minent et grignotent la
notion
classique de frontières, la vident par l’intérieur, tendent à la rédu
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ode de conduite plus qu’une doctrine politique ou
notion
juridique, une expérience multiforme et non pas une construction dogm
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février 1977 Il y a complémentarité parfaite des
notions
de fédéralisme et de tolérance. Le principe de tolérance s’est trouvé
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lisme” contre les girondins en 1792). Plus qu’une
notion
juridique ou un mode d’organisation politique, le fédéralisme est une
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érieurs à tous les autres. 17 décembre 1976 De la
notion
d’association libre, de la notion de souveraineté territoriale corres
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mbre 1976 De la notion d’association libre, de la
notion
de souveraineté territoriale correspondant à une association, et de l
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toriale correspondant à une association, et de la
notion
de liberté, ont résulté au cours des siècles — mettons le ive , ve s
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arriverait pas. Prenons par exemple le profit, la
notion
de profit. Je pense que le vice fondamental et mortel de notre sociét
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onction du profit, que le profit, le recours à la
notion
de profit tranche toujours en dernier ressort. Admettons cela en tout
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la part de chacun aux choix qui y sont faits. La
notion
de communauté doit être réhabilitée comme moyen pour la personne de s
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’origine théologique : c’est la formulation de la
notion
de personne, fruit des débats des grands conciles (ive , ve , vie si
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nt se dévouer au bien public, puissent garder une
notion
concrète du gouvernement de la ville. Alors, ils le délèguent à un ce
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rquoi applique-t-on alors au citoyen romain cette
notion
de persona ? C’est justement parce qu’il est défini uniquement par sa
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as déterminé par l’empereur. 25 février 1966 À la
notion
grecque d’individu a correspondu chez eux la notion sociale de polis,
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tion grecque d’individu a correspondu chez eux la
notion
sociale de polis, de cité, a correspondu aussi une notion du civisme,
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ociale de polis, de cité, a correspondu aussi une
notion
du civisme, de la vie politique, de la vie commune, qui traduisait bi
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que, de la vie commune, qui traduisait bien cette
notion
de l’individu. Dans le monde romain, la notion humaine qui est apparu
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te notion de l’individu. Dans le monde romain, la
notion
humaine qui est apparue comme nouveauté était la notion de citoyen, d
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humaine qui est apparue comme nouveauté était la
notion
de citoyen, d’homme défini par ses liens sociaux, et la notion qui lu
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oyen, d’homme défini par ses liens sociaux, et la
notion
qui lui a correspondu était le règne de la loi réglant les relations
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on pourrait appeler judéo-chrétienne, qui crée la
notion
de « personne », d’homme défini par sa vocation transcendante, notion
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», d’homme défini par sa vocation transcendante,
notion
qui synthétise en quelque sorte la notion grecque d’individu et la no
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ndante, notion qui synthétise en quelque sorte la
notion
grecque d’individu et la notion romaine de citoyen, puisque la person
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quelque sorte la notion grecque d’individu et la
notion
romaine de citoyen, puisque la personne chrétienne est à la fois l’ho
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estion de tension. Dans le fédéralisme ou dans la
notion
de la personne, c’est tout à fait différent, puisque chacun des deux
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lénistique dissocié, la restauration forcée de la
notion
de citoyen réduite à celle de rôle social que l’on valorise à l’extrê
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a vie civique et dans la vie politique, et que la
notion
qu’il représente est devenue l’un des fondements de la forme de pensé
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Avec l’introduction suivante des éditeurs : « La
notion
de personne est primordiale chez Denis de Rougemont et conditionne ch
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ividu, mais ne s’y réduit pas. Elle n’est pas une
notion
arbitraire ni purement abstraite, mais un produit typique du cheminem
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vidu et la formation des cités, Rome introduit la
notion
de citoyen défini par son statut social, le christianisme (à travers
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tonomies de la fin du xxe et du xxie siècle. La
notion
d’auto-nomie a subi des modifications profondes au cours de l’histoir
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puis Louis XIV. Elle impose à tous les esprits la
notion
du pouvoir absolu de l’État, de la « majesté de l’État », de sa toute