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les. Maintenant, l’onde lisse et basse d’un temps
nouveau
nous environne. Ceux qui n’aiment point la femme qu’ils viennent de p
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Au séminaire de Short Stories (histoires brèves,
nouvelles
) d’une grande université américaine, on enseigne aux étudiants à évit
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use comme les secondes voix de Schumann. Un mythe
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prend son essor au sein même de la catastrophe. Tout un âge, un clima
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que aux jardins jusqu’à l’aube… Un quart de tour,
nouvelles
de la bataille des Flandres, c’est la fin d’un communiqué, régions pe
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ble grandeur. Les journaux qui nous apportent des
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de la résistance à l’intérieur du pays occupé nous parlent du peuple
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faire oublier son goût de la guerre ! Quel drame
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, pour remplacer, sur la scène vide, l’Ennemi déchu ?) C’est pourquoi
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ses dans nous-mêmes11. Mais ceci pose un problème
nouveau
: le problème de la religion. 3. Il faut une religion pour le peuple.
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thodiquement refusé à laisser naître des coutumes
nouvelles
(en ceci protestant, mais sans la foi). Or les coutumes religieuses q
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ser, et prohibe la recherche hasardeuse de moyens
nouveaux
, elle fait lever des monstres autour de nous. Imaginons une similitud
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de l’homme aux prises avec le destin d’un siècle
nouveau
. Alors que la plupart des révolutionnaires de droite ou de gauche édi
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t d’aller voir, et d’« essayer » le pays comme un
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costume. Et je me dis que le problème est mal posé. Il ne s’agit ni d
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nte sans cesse. Il ne croit qu’à l’actualité, aux
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toutes chaudes, à la dernière tactique, et ne fait que singer d’antiq
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té, du côté de ce monde mal fait… Parut un soleil
nouveau
. Et ceux qui le voyaient prenaient un visage neuf, leurs yeux devenai
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le contraste le plus profond entre l’Ancien et le
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Monde : leur manière de réagir à la souffrance. Prenons l’exemple de
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t, de religion, de politique, des perspectives du
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régime, et pas du tout de mes après-midi. Bien entendu. La veille de
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t, et disant à peu près : « Donne-moi vite de tes
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, je suis inquiet, je n’oublierai jamais les nuits extraordinaires que