1 uante ans plus tard, c’est à Bâle que s’allume un nouveau foyer : Bachofen inaugure par son Matriarcat une conception sociologi

2 oup les énergies individuelles ou locales pour de nouvelles créations ou conquêtes. En dernière analyse, nous pouvons définir le

3 notre civilisation : la libération permanente de nouvelles énergies, grâce à l’organisation croissante des activités inventées p

4 se lancer vers des aventures ou des explorations nouvelles , soit d’accroître les possibilités de libération personnelle de l’hom

5 tent, aux environs de 1963 : c’est qu’il est plus nouveau que celui des souverainetés, et qu’il est même sans précédent dans l’

6 des frontières économiques), certains dynamismes nouveaux se trouveront libérés. D’autant plus les frontières nationales seront

7 onomique et culturelle prendra forme. Des reliefs nouveaux , comparables à des soulèvements de terrain révélant un jeu de forces

8 fférencier et se réorganiser en autant de régions nouvelles (ou réanimées), qu’il y aura de « métropoles » prouvant leur droit à

9 force de rayonnement. La mobilité des industries nouvelles , et leur indépendance par rapport au sous-sol, provoquent la naissanc

10 ales. Elle s’efforce d’harmoniser la vitalité des nouveaux centres, les besoins généraux du continent, et les échanges toujours

11 des régions et de la formation de « métropoles » nouvelles . En vertu de dispositions spéciales introduites dans la constitution

12 r les constitutions d’un nombre croissant d’États nouveaux , ou réorganisés de fond en comble au xxe siècle ; ce qui incline à p

13 es freudiens, des refoulements, des névroses. Ces nouvelles connaissances ont créé de nouvelles exigences que nos grands-parents

14 névroses. Ces nouvelles connaissances ont créé de nouvelles exigences que nos grands-parents n’avaient pas. La recherche du bonhe

15 icité n’arrange pas les choses. Périodiquement un nouveau type de femme « idéale » est proposé à l’admiration des foules, disqu

16 t de statu quo, répond d’une manière adéquate aux nouveaux besoins d’union apparus depuis 1945, et qui ont posé, précisément, la

17 eux susceptible de répondre à la fois aux besoins nouveaux d’union, et aux besoins traditionnels d’autonomie de nos peuples, bes

18 tion, mais bien par ceux qui créent des positions nouvelles . Ce que l’Europe et le monde attendent de nous, ce n’est pas l’exposé

19 it dans nos muscles et notre volonté des énergies nouvelles pour cet effort nouveau. Nous marchions depuis une dizaine d’heures,

20 re volonté des énergies nouvelles pour cet effort nouveau . Nous marchions depuis une dizaine d’heures, mais la fatigue a la pro

21 mots ou des concepts, et en tirer quelques effets nouveaux ou justes. Faute de quoi, je me vois réduit à poser quelques grandes

22 de la guerre de 14-18 voit intervenir un élément nouveau , fourni par la technique : le moteur (auto, char, avion). Mais le poi

23 non pas de désarmer. Et il est vrai que les armes nouvelles inventées par les techniciens n’ont guère fait que s’ajouter aux anci

24 é, et je vais désigner par là une unité d’un type nouveau , à la fois plus grande et plus complexe que la cité antique, mais plu

25 nte, la mobilité des industries, et par suite les nouvelles concentrations de ressources intellectuelles, techniques et bancaires

26 finités, selon leur voisinage, selon les réalités nouvelles qui les auront formées, par-dessus les anciennes frontières nationale

27 pas encore élaboré la doctrine adaptée aux temps nouveaux — celle des régions…). 3. Certains « européens » (mais non les fédéra

28 veraineté ; et c’est ensuite trouver les éléments nouveaux qui rendraient l’union praticable. Parlant de la mise en place progre

29 é, et je vais désigner par là une unité d’un type nouveau , à la fois plus grande et plus complexe que la cnté antique, mais plu

30 nte, la mobilité des industries, et par suite les nouvelles concentrations de ressources intellectuelles, techniques et bancaires

31 finités, selon leur voisinage, selon les réalités nouvelles qui les auront formées, par-dessus les anciennes frontières nationale

32 ns encore. Je viens de recevoir le manifeste d’un nouveau mouvement politique « pour le fédéralisme et le progrès social », où

33 nes clament : « La Bretagne crève ! Pas d’emplois nouveaux , fermeture d’usines, émigration des jeunes et des cadres… » Le dépéri

34 ubs lointains ou proches. Mais ceci, qui est très nouveau et presque révolutionnaire pour les citoyens des États unitaires et s

35 se traiter au niveau des écoles. Mais des usines nouvelles se créent. Où les construire ? Il faut les édifier loin des villes et

36 n des villes et loger le personnel dans des cités nouvelles où puisse naître un esprit de communauté, et non pas dans des caserne

37 une volonté qui peut surgir demain, posant un but nouveau et créant ses moyens. Si l’on ne déclare pas ce qu’on veut, il n’est

38 s le fédéralisme », n° 34, 1934 et « Précis Ordre nouveau  », n° 34, 1936, de la revue L’Ordre nouveau  ; et mon Journal d’une

39 réation religieuse, autour desquels se forment de nouvelles communautés. Et grâce à ça, on maintient l’humanité, n’est-ce pas ? L

40 de leurs coutumes, ou des nécessités économiques nouvelles , et qui enfièvrent tour à tour la Bretagne, les Flandres ou le Pays b

41 — et au xxe siècle, par une centaine de nations nouvelles . Centralisé, atomisé et trituré par les dynamismes contraires du xxe

42 ateur d’unions plus vastes à proportion de tâches nouvelles , mais aussi de communautés plus petites correspondant aux exigences d

43 e quelques pas, améliorer un état de choses où de nouveaux progrès ne sauraient être de trop, même dans les armées les mieux org

44 à son service… Les combattants sont prêts pour de nouveaux combats, résolus à y engager le reste de l’Europe avec eux — peut-êtr

45 s’abandonnerait au zèle amer du censeur des temps nouveaux et aux compensations fictives d’utopies qui, comme celle de la paix p