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fort pour créer l’équilibre a dégagé des énergies
nouvelles
. Le silence mûrit à la faveur du secret, et dans la profondeur, des c
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», renaît comme libérée intérieurement au « jour
nouveau
». L’âme pâment à cette connaissance, à cet acte de fécondation spiri
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par l’effort aveuglant de la vie, pénètre dans le
Nouveau
Jour et contemple l’indescriptible. Si Faust est le drame d’une formi
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statique et cartésienne nous porte en des régions
nouvelles
de l’esprit où l’action redevient notre seul critère de cohérence. C’
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el ne ressemble pas davantage au christianisme du
Nouveau
Testament que le carré au cercle. L’enseignement est devenu autre… »
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x. « Elle ne ressemble pas plus à la situation du
Nouveau
Testament que le salon d’un petit-bourgeois ne ressemble aux décision
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gence qui paraît en nous, nous révèle un complexe
nouveau
. Et la simplicité ne résulte jamais que d’un refus de nous complaire
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i, le mystère du temps se dévoile ; mais un temps
nouveau
prend son cours, et sa mesure est plus mystérieuse encore. Voici : le
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esprit, ou qui fait profession de l’appeler. « Le
Nouveau
Testament ressemble à une satire de l’homme. Il contient des consolat
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ois à l’église déplorer l’athéisme du monde. « Le
Nouveau
Testament suppose sans méfiance que le chrétien souffre pour sa doctr
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peintre. On l’y découvre enfin, et cela me paraît
nouveau
, constamment occupé de problèmes religieux. Mais d’une manière qu’il
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le couvert desquels pourront s’avouer des régions
nouvelles
de l’humain… À cette sincérité qui entend décrire sans parti pris, et
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ement d’un Ludwig Tieck. Donnez-moi des « paroles
nouvelles
» pour exprimer l’inexprimable, dit la sainte ; et le poète : « Mais