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au fumoir. Et tout le monde se remit à parler des
nouvelles
du jour comme si le diable n’existait pas. Pourtant le Philosophe me
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de sa révolte. Voici qu’il nous entraîne dans un
nouveau
tour de la spirale qui pointe vers l’Enfer : il nous accuse avec une
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e vouloir s’innocenter en proclamant en tête d’un
nouveau
Code : « Le Droit est ce qui sert le peuple allemand. » Ce n’est pas
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pour lui, si Dieu garde l’éternité. Quel sera le
nouveau
plan stratégique du Malin ? Comment va-t-il tirer de sa défaite les a
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les peuples régnera l’Ennui. Viendront alors les
nouveaux
prêtres. « Il faut une religion pour le peuple. » Entendons : pour qu
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thodiquement refusé à laisser naître des coutumes
nouvelles
(en ceci protestant, mais sans la foi). Or les coutumes religieuses q
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ser, et prohibe la recherche hasardeuse de moyens
nouveaux
, elle fait lever des monstres autour de nous. Imaginons une similitud
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Viendront les grands diététiciens. Viendront les
Nouveaux
Prêtres. Viendra la paix. Et peut-être vient-elle pour des siècles. (
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aire oublier son goût de la guerre ? Quels drames
nouveaux
pour remplacer, sur la scène vide, l’Ennemi déchu ? Les maîtres de la
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iques, une véritable drogue du démon, l’un de ses
nouveaux
noms. Nous avons cru à la bonté foncière de l’homme. Par gentillesse
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répandant alternativement de vraies et de fausses
nouvelles
. Voilà le diable à l’œuvre dans nos vies : le maître du confusionnism
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des tentations. Je crois pourtant qu’un sentiment
nouveau
, et comme indépendant de nos catégories, se manifeste dans l’époque m
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quelque part. Chaque fois que nous découvrons un
nouveau
mécanisme de la vie, nous sommes aussitôt obsédés par l’idée que « ce
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rien ne tient, naturellement. Mais voici qui est
nouveau
: l’on s’en vante, avec l’appui de tous les romanciers, des journalis
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pays communistes, elles déclencheront des formes
nouvelles
de la chasse aux sorcières et de l’exorcisme. On n’enverra plus au bû