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os églises qu’elles énoncent une doctrine sociale
nouvelle
opposée aux doctrines régnantes. Nous n’attendons rien d’aucun acte d
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aline, vous camouflent cette démission en dignité
nouvelle
. La dignité de l’homme consisterait, dit-on, dans le travail qu’il fo
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ignons ici le propos de ces pages. La littérature
nouvelle
sera le fait de l’homme renouvelé, je ne dis pas de l’homme nouveau —
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est être libre. Un art nouveau, c’est une liberté
nouvelle
. Mais c’est aussi une obéissance nouvelle. Je ne conçois de liberté c
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liberté nouvelle. Mais c’est aussi une obéissance
nouvelle
. Je ne conçois de liberté concrète que dans l’exercice fidèle de ma v
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idées » qu’ils mettent en action. La littérature
nouvelle
, couronnant un ordre nouveau, sera forcément plus soucieuse des échos
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révolution n’a jamais inventé de vertu réellement
nouvelle
. Mais toute révolution est d’abord un rappel à certaines vertus négli
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abord un rappel à certaines vertus négligées. Une
nouvelle
insistance sur la définition de l’homme. Une nouvelle discipline. Et
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elle insistance sur la définition de l’homme. Une
nouvelle
discipline. Et une nouvelle aisance. 12. Un éditeur introduit en c
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ition de l’homme. Une nouvelle discipline. Et une
nouvelle
aisance. 12. Un éditeur introduit en ces termes une collection de
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le, ou Giono. Marianne a publié, le 15 août, une
nouvelle
de Jean Giono intitulée « La femme morte », qui n’est pas une nouvell
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o intitulée « La femme morte », qui n’est pas une
nouvelle
bien faite, mais qui est un peu mieux que cela, une présence, une pla
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du compte rendu qu’il m’en a fait. g. « Sur une
nouvelle
de Jean Giono », Esprit, Paris, n° 26, novembre 1934, p. 292-295.
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le par cette apparition qui s’y insère. C’est une
nouvelle
qualité du concret. Mais ce mystère de la présence, si l’on peut en d
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rit voudrait voir s’attacher les romanciers de la
nouvelle
génération : cet appel à la vie communautaire, ce réalisme plein, ce
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e. « Il découvrit pour la première fois une forme
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de patriotisme, une façon silencieuse, profonde, bouleversée, broyée,
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rovoquer chez Tzara une prise de conscience toute
nouvelle
, et qu’à cette réflexion, plus réellement dramatique, l’on puisse att
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cisme. À quoi s’ajoute depuis peu une possibilité
nouvelle
et symbolique : les licenciés seuls peuvent briguer l’inspectorat de
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erlebt) une des grandes cérémonies de la religion
nouvelle
. Par exemple un discours du Führer à son peuple. Je roulais ces pensé
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ple, l’ami et le libérateur invincible… « Une ère
nouvelle
commence ici. » ⁂ Chrétiens, retournez aux catacombes ! Votre « relig
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i c’était vrai, ça se verrait. » Telle est la loi
nouvelle
et la réalité d’une ère dominée par ce fait historique : l’Incarnatio
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en général l’irruption d’une forme d’imagination
nouvelle
dans un village ou une contrée, plus rarement chez un individu, qui c
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embranchements a comporté ensuite une bifurcation
nouvelle
, et celle-ci une autre, et ainsi de suite à l’infini, de sorte que po
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opes. En somme, ce qu’ils admirent dans la Russie
nouvelle
, c’est une santé énorme, une joie au travail dont rien ici ne peut do
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rot, Helvétius et Voltaire, à l’appui de leur foi
nouvelle
. Ce n’est pas sans raison qu’ils se remettent à glorifier les mythes
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seule littérature digne du nom qu’ait produite la
nouvelle
Russie s’est développée en marge du Plan, par anticipation ou régress
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e moins fait pour l’intégrer. Qu’on baptise cette
nouvelle
anarchie « humanisme révolutionnaire » ou « réalisme socialiste », l’
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la formule de ce changement de méthode : pour la
nouvelle
école soviétique, l’unité du peuple et des clercs n’est pas « quelque
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s cette tâche-là, je vois le seul fondement d’une
nouvelle
culture européenne… b) Il est faux que nous soyons obligés de commenc
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nt le bien-être physique, mais aussi une grandeur
nouvelle
. Même, il se jette d’abord vers cette grandeur, au mépris de la faim
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lasse… Si l’on veut comprendre ce temps, et l’ère
nouvelle
, incalculablement, qu’il inaugure, il faut se rappeler deux faits réc
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à l’appel jailli de la crise, vers une communauté
nouvelle
. Là où cette crise était la plus aiguë, la réponse, qui devait être t
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e, isolement, irréalité. Cette situation cosmique
nouvelle
est la vraie cause de la révolution mondiale, de l’appel qui surgit d
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e attente universelle religieuse, l’attente d’une
nouvelle
mesure, d’une nouvelle image du monde où l’homme s’éprouve de nouveau
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eligieuse, l’attente d’une nouvelle mesure, d’une
nouvelle
image du monde où l’homme s’éprouve de nouveau réel, actif, nécessair
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e la crise dénonce et rend caducs, mais une force
nouvelle
qui résolve la crise dans le sens de notre destin. 5. Le dilemme.
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el. S’il veut rester vivant, c’est dans un amitié
nouvelle
. S’il écrit quelque part : « Le monde n’a plus pour moi le caractère
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Gide : « Je crains que ne se reforme bientôt une
nouvelle
sorte de bourgeoisie ouvrière satisfaite…, trop comparable à la petit
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e des importantes Études de Jean Wahl — voici une
nouvelle
vague nietzschéenne. Il faut suivre de près ces pulsations de la cons
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ces trois volumes donnent une image définitive et
nouvelle
de la pensée nietzschéenne. Ils permettent en particulier de situer à
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e délire allait lui demander : les prémices d’une
nouvelle
création, et la « révélation des enfants de lumière » ! 21 avril Voic
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suffit presque à distinguer cette « génération »
nouvelle
de celle qui s’illustra par le surréalisme. Littérature présente au m
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tuellement75. Cette conception du monde n’est pas
nouvelle
; elle constitue l’apport spécifique de l’Europe à l’humanité. C’est
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naissance, dès le xiie siècle, à une forme toute
nouvelle
de l’amour humain : la passion. Ignorée des Anciens, ou considérée pa
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d en la possédant. Alors commence une « passion »
nouvelle
. On s’ingénie à renouveler l’obstacle et le combat. On imagine différ
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’est d’au-delà de la passion que dans une passion
nouvelle
— dans le tourment nouveau de la poursuite d’apparences toujours plus
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dialectique. (Juin). — La Duchesse de Friedland,
nouvelle
de Drieu la Rochelle. « Qui n’a pas connu les années d’après-guerre n
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décision prise en dépit de tout, et qui fonde une
nouvelle
existence, initiant un risque nouveau. ⁂ Écartons tout malentendu : i
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la fidélité dans le mariage est la loi d’une vie
nouvelle
; et non point de la vie naturelle (ce serait la polygamie) — et non
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a parlé en mots humains, nous avons appris cette
nouvelle
: ce n’est pas l’homme qui doit se délivrer lui-même, c’est Dieu qui
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dérer les autres femmes d’une manière tout à fait
nouvelle
, inconnue au monde de l’Éros : comme des personnes, non plus comme de
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décisions. Elles introduisent à une problématique
nouvelle
, et qui n’est pas toujours aussi simpliste que le dilemme passion-fid
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me de la passion, la mort d’amour, initie une vie
nouvelle
, où la passion ne cesse d’être présente, mais sous l’incognito le plu
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a souveraineté absolue, créent ainsi une attitude
nouvelle
, une confiance — ouvrent l’Europe au monde, du même coup. Ce qu’il no