1 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
1 ns conditions. Mon rôle n’est pas de proposer une nouvelle forme politique. Je me contente de vitupérer ce que je vois, qui est
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
2 littérature publiée sur le « problème de l’école nouvelle  ». On appelle école nouvelle tout établissement où l’on s’efforce d’e
3  problème de l’école nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement où l’on s’efforce d’enseigner selon des principes
4 u pratique prévaut, il est à craindre que l’école nouvelle n’apporte bientôt sa méthode rationnelle pour apprendre aux bambins à
5 les sont comiques précisément. Je ferai à l’école nouvelle un reproche d’une autre nature. Elle prétend donner plus de liberté a
6 que cela revient au même, sauf que par la méthode nouvelle on atteint l’enfant plus profondément, on se glisse à l’intérieur de
7 ois enfants… Je reconnais que les buts de l’école nouvelle sont honnêtement scientifiques, et désintéressés. Mais l’enfant-cobay
8 alentendus (si tant est qu’il progresse). L’école nouvelle n’échappe à l’absurdité primaire qu’à la faveur d’une équivoque. Cett
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
9 Mais le temps vient où elles renaîtront à une vie nouvelle et plus complète, à un degré supérieur d’inconscience, si je puis dir
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
10 le salut de l’Europe est lié à la naissance d’une nouvelle attitude de l’âme. Ceci revient à dire que seule une grande vague de
11 t en même temps constituent des sources d’énergie nouvelle . Le parallèle peut être poussé dans les détails. Il s’agit bien d’un
12 nos efforts resteront vains pour instaurer cette nouvelle attitude de l’âme. Mais ces méthodes ne prendraient tout leur sens et