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goisse diffuse d’où naît l’appel à une communauté
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et plus solide, où l’individu isolé retrouve des contraintes qui le r
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successivement, ont fait faillite. Quelle sera la
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société ? En ce point de l’évolution, dans cette angoisse, deux solut
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Dieu dans l’homme fondant une société absolument
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: l’Église. Qu’est-ce que l’Église primitive, du point de vue sociolo
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on péché ; et d’autre part, il reçoit une mission
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, une vocation. Il devient le serviteur du Maître qui le libère. Ainsi
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u de la Renaissance se livre à une activité toute
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: l’expérimentation scientifique libre. Tout cela relève d’une seule
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’il soit, tantôt l’établissement d’une hiérarchie
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au prix d’une révolution, tantôt la suppression physique de tous ceux
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individualiste de la Renaissance. Et aujourd’hui,
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oscillation du balancier : le vide social créé par l’individualisme d
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ec des frères, et l’introduit dans une communauté
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. Voilà l’homme que j’appelle une personne : il est à la fois libre et
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tuellement19. Cette conception du monde n’est pas
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: elle constitue l’apport spécifique de l’Europe à l’humanité. C’est
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Ils proclament une doctrine politique tout à fait
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en Europe. Ils prétendent que les nations n’ont pas toutes les mêmes
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ement de nos habitudes ancestrales. À la question
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que nous pose la grande révolution européenne, il s’agit maintenant d
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valent ces fameux privilèges dans l’Europe toute
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où nous vivons en ce début de 1940. Il convient de se demander s’ils
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e prétendre à jouer le rôle de germe d’une Europe
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. Mais il y va de notre indépendance autant que de la paix occidentale