1 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
1 ort. La mort absolue, celle qui n’est pas une vie nouvelle . La mort dans la transparence glaciale de l’évidence, qui est celle d
2 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
2 veau type de rapports sociaux, c’est-à-dire d’une nouvelle normalité. 4. Dans le conte intitulé L’Ombre, Andersen raconte comm
3 maine eut passé, il vit, à sa grande joie, qu’une nouvelle ombre partant de ses pieds commençait à croître lorsqu’il se promenai
3 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
4 en son temps, qu’aux yeux de ceux qu’une réalité nouvelle illuminait. Sans la vie, que dire de la mort ? Et sans la Fin, que di
4 1947, Doctrine fabuleuse. L’eau ou L’esprit de la tempête
5 amertume non par l’eau. C’est la saveur d’une vie nouvelle . 6. — « Vous êtes le sel de la Terre », leur fut-il dit. Mais l’Espri