1 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
1 lieu de tendre à les réduire, il en a reconnu une nouvelle en 1938 ; le réto-roman, avec ses deux branches, le romanche de la ha
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 aient voix au Grand Conseil, mais pratiquement la nouvelle noblesse contrôlait les destinées des petites républiques cantonales,
3 n française, tout devait concourir à assurer à la nouvelle Confédération une stabilité exceptionnelle. La Constitution de 1848
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
4 le 8 avril de la même année, elle avait rédigé la nouvelle charte. Celle-ci fut adoptée au mois d’août, par quinze cantons et de
4 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
5 uisses se virent contraints d’ajouter une qualité nouvelle , un nouveau moyen de compenser la quantité : l’ingéniosité technique,
5 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
6 parallèlement à la première, est celle de l’école nouvelle . Elle se réclame de deux grands ancêtres suisses, Rousseau (avec l’Ém
7 . » Quels qu’aient pu être les excès de l’« école nouvelle  » à ses débuts, ou les conséquences extrêmes qui furent parfois tirée
8 émocraties modernes. Les expériences de l’« école nouvelle  » se sont bornées jusqu’ici au secteur privé (kindergarten ou institu
6 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
9 égendaires. Il semble que dès le iiie siècle, la nouvelle doctrine s’introduisit dans la partie occidentale du pays, apportée p
10 , à elle seule, suffirait à rendre impossible une nouvelle guerre du Sonderbund dans notre siècle. Mais bien d’autres facteurs o
7 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
11 taient compatibles avec les principes de la Ligue nouvelle . Par la Déclaration de Londres, elle obtint d’être dispensée de toute