1 et urgente, nous sommes en présence d’une fausse nouvelle  : cette Europe-là ne peut pas « agoniser » puisqu’elle n’a jamais exi

2 ne fédération des démocraties pourra prévenir une nouvelle guerre franco-allemande, comme celles qui ont servi de détonateur à d

3 e des jeunes, leurs colères, leurs espoirs. Cette nouvelle vague européenne se situe dans une conjoncture élargie à tout l’ensem

4 er l’importance : 1 La guerre entre nations de la nouvelle Europe n’est plus pensable. Cela ne résulte pas seulement des traités

5 te le caractère nécessairement démocratique de la nouvelle Europe. Aux yeux de l’Européen moyen, comme aux yeux de nos hommes d’

6 domicile à l’autre en trente secondes ; — chaque nouvelle centrale nucléaire produisant 1000 MW rendrait possible la suppressio

7 s sur le système économique ont résulté une forme nouvelle d’inflation généralisée, et une réduction des investissements mettant

8 remèdes à la crise économique consistent dans une nouvelle méthode d’analyse des besoins humains, partant des besoins organiquem

9 ion aux décisions ; et sans doute, une évaluation nouvelle du rôle des gouvernements : instruments au service des citoyens. Ac

10 olutions à l’échelle du continent 1. En cas de nouvelle crise du pétrole (guerre au Moyen-Orient), prévoir des mesures de sol

11 ection de la police, voire de l’armée17, et d’une nouvelle Inquisition idéologique, donc aux dépens des droits de l’homme et des

12 ilisation de la terre, qui constitue peut-être la nouvelle la plus sensationnelle du siècle, a passé pratiquement inaperçue. Sur