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énuries en famines au désastre final de la guerre
nucléaire
, ne serait-il pas temps de changer de cap ? De réviser les dogmes du
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at napoléonien et les armements de l’impérialisme
nucléaire
, cette division du monde en États souverains ne peut conduire qu’à un
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les Européens se réfugient sous le « parapluie »
nucléaire
américain pour éviter de faire face à leurs responsabilités, pour évi
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ses — telles que le Centre européen de recherches
nucléaires
(CERN) à Genève ; la Fondation européenne de la culture (FEC) à Amste
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uctivité matérielle ou qualité de la vie, énergie
nucléaire
ou énergie solaire, équilibre vivant ou équilibre de la Terreur. L’ét
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ssance à tout prix, des armements et de l’énergie
nucléaires
, ou encore de l’exploitation du tiers-monde à l’enseigne de la Coopér
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es mêmes de notre crise et les moyens — notamment
nucléaires
— d’y mettre fin soit par l’asservissement de ses fauteurs, soit par
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eul impératif indiscutable : celui du désarmement
nucléaire
, condition de la survie de l’espèce humaine en tant que civilisation.
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on) (en millions TEP) Production (y compris le
nucléaire
) 370 640 Importations 635 1160 Consommation 1005 1800 La consom
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arbon, du pétrole, du gaz naturel et de l’énergie
nucléaire
; l’Italie de l’hydroélectricité et du gaz naturel ; la Hollande a be
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e charbon, pas d’énergie hydraulique ni d’énergie
nucléaire
; la France n’a plus beaucoup de charbon ni de gaz, mais une forte ca
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s une forte capacité hydraulique, et un programme
nucléaire
des plus ambitieux ; tout comme la RFA qui, en revanche, possède beau
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ion de la production, ni du confort, alors que le
nucléaire
ne pourrait fournir dans la meilleure hypothèse que 17 % de la consom
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éficient d’ici vingt ou trente ans sera l’énergie
nucléaire
. Là-dessus trois remarques : a) Au moment où le pétrole manquera13,
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: — la résistance populaire, la peur viscérale du
nucléaire
, le « traumatisme d’Hiroshima », qui est un fait important, quoi qu’e
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par le nucléaire15 ; — le prix réel de l’énergie
nucléaire
, bien plus élevé que les prix annoncés, à cause des coûts toujours oc
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prévoyait 66 millions d’unités de compte pour le
nucléaire
contre 6 millions pour toutes les « autres formes » d’énergie. À quoi
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che de très grande envergure consacré à la fusion
nucléaire
, procédé réputé « propre » et ne créant d’autres déchets que H2O = de
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ofit en monnaie, la puissance militaire en fusées
nucléaires
, et l’élévation à tout prix du niveau de vie matérielle, aux dépens d
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s, etc. 2. Prendre conscience de ce que l’énergie
nucléaire
(pratiquement les surgénérateurs dès 1990) ne pourra s’installer que
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e la paix. 3. Pousser la recherche des formes non
nucléaires
d’énergie, jusqu’ici marginalisées par nos États, tous centralisateur
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RN, et plus récemment pour l’étude de la biologie
nucléaire
, puis de la fusion thermonucléaire ; et cela, au-delà des Neuf, c’est
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oute ces données sont justement les promoteurs du
nucléaire
… 14. Voir notamment les manifestes publiés par des savants du Collèg
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par la crainte des effets possibles de l’énergie
nucléaire
— bombes ou centrales — sur l’environnement naturel et urbain, que le
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responsables envers la société. La résistance au
nucléaire
résulte de questions de bon sens telles que : « Pourquoi avons-nous b
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Les aérosols, les engrais azotés, les explosions
nucléaires
et les vols supersoniques militaires et civils constituent une menace
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sera de 10 % en 2050 si l’on continue… Une guerre
nucléaire
mondiale aurait des conséquences désastreuses à cet égard : elle pour
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tres, sur les effets probables d’une déflagration
nucléaire
, il résulte en effet : 1° Que les dommages seraient tels — étendue, d
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préconiser une politique de destruction des armes
nucléaires
dans tous les pays qui en possèdent, ainsi que le démantèlement des r
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rue des États-Unis pour une éventuelle protection
nucléaire
. C’est-à-dire, très exactement ce que les fédéralistes avaient voulu
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es russes, et tout l’aléatoire d’une intervention
nucléaire
américaine, ils ne se contenteraient plus de l’alibi du « parapluie »
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e non intégré de nos pays quant aux seules forces
nucléaires
engagées dans la région Europe : les potentiels sont de 1 (France et
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décide s’il y a lieu ou non de recourir à l’arme
nucléaire
. Les Russes détiennent le principal des forces de production de l’Eur
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civile — rendraient illusoire l’usage des moyens
nucléaires
qui occasionneraient plus de pertes aux populations civiles qu’à l’ag
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— enfin pour « dissuader » l’URSS, dont l’arsenal
nucléaire
total est cent fois supérieur au nôtre. Mais voici l’évidence majeure
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e. Mais voici l’évidence majeure : même à égalité
nucléaire
, l’Europe serait perdante, car l’extrême densité de sa population, de
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que si l’Europe unie disposait de l’immense force
nucléaire
russe, elle pourrait faire autant de mal à l’URSS que celle-ci ne lui
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ue celle-ci ne lui en ferait avec la petite force
nucléaire
française et anglaise. Il semble bien qu’une force de frappe national
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u sans les « Américains », avec ou sans les armes
nucléaires
, rien ne résiste aux évidences que voici : — les armes nucléaires son
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ne résiste aux évidences que voici : — les armes
nucléaires
sont offensives par nature et ne peuvent servir qu’à porter la guerre
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taque fût-elle qualifiée de préventive. Les armes
nucléaires
sont par nature inaptes à défendre nos campagnes, nos villes, nos pop
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— les « Américains » ne risqueront pas une guerre
nucléaire
si les Européens ne prouvent pas leur volonté de se défendre par leur
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le solution au désastre économique et à la guerre
nucléaire
, se trouve lié à l’avenir d’une fédération réussie de l’Europe occide
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rsel, le tout allant inéluctablement aux conflits
nucléaires
intercontinentaux nettoyant la Nature de sa vermine humaine. Le seul
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reposer pour la défense de l’Europe sur les armes
nucléaires
(par nature offensives) commandées par le Pentagone. Éduquer au contr
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rde 66 millions d’unités de compte aux recherches
nucléaires
, contre 6 millions d’unités de compte aux recherches sur l’énergie so