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rchie dont on ne veut pas avouer qu’elle est plus
nécessaire
— provisoirement — que satisfaisante pour l’esprit. C’est ainsi que n
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atténuerait dans une certaine mesure — parce que
nécessaire
— ce qu’il y a de déplaisant dans l’effort d’un esprit pour se dégage
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et état. Ce « mensonge », ce choix faux mais bon,
nécessaire
à la vie, n’est-ce pas être sincère aussi que de s’y prêter ? Or, il