1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 rchie dont on ne veut pas avouer qu’elle est plus nécessaire — provisoirement — que satisfaisante pour l’esprit. C’est ainsi que n
2 atténuerait dans une certaine mesure — parce que nécessaire — ce qu’il y a de déplaisant dans l’effort d’un esprit pour se dégage
3 et état. Ce « mensonge », ce choix faux mais bon, nécessaire à la vie, n’est-ce pas être sincère aussi que de s’y prêter ? Or, il