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rche, de toute création, de toute victoire sur la
Nécessité
. « Je suis le chemin ». Mais un chemin n’est un chemin que si on y ma
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rist. La possibilité de l’acte est identique à sa
nécessité
. Il n’y a donc aucun acte possible, aucun acte vrai et vivant en deho
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ation avec ce qui n’est pas personnel. Mais cette
nécessité
ne reprend sa valeur que dans la tension active dirigée tout entière
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l’incertitude du lendemain (et du présent), à la
nécessité
croissante de vivre sur ses réserves, enfin à une crise et à une care
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rt bien localisé, de s’attacher à ce qu’on fait ;
nécessité
où l’on se trouve de bâcler son ouvrage, pour gagner de quoi vivre, t
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ceux qui en parlent. On vous répond que c’est une
nécessité
de la tactique, dûment prévue d’ailleurs par les dialecticiens. Alors
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cela peut s’expliquer, je l’entends bien, par des
nécessités
pratiques et contingentes, et je n’ai pas à porter, ici, un jugement
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oup (avec léger retard sur l’événement !) par des
nécessités
dites « dialectiques »… Les communistes sincères comprendront-ils que
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nt claires qui, tout en affirmant avec vigueur la
nécessité
d’un « changement », et d’un changement pratique, concret, visible, d
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qu’il n’est en somme qu’une tactique. Faisons de
nécessité
vertu. Proposons-nous de changer les choses et leurs rapports, de cha
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n’a pas voulu le matérialisme vulgaire. Mais les
nécessités
de la polémique d’une part, — et sa définition de l’homme concret, pu
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erte du Dieu de la foi et du Prince de ce monde ;
nécessité
du témoignage, et du témoignage fidèle, certifié par l’Esprit et la B
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téchisme. » 31. Luther avertit à chaque fois : «
nécessité
conditionnelle et nécessité absolue, comme ils disent », et ce ils dé
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tit à chaque fois : « nécessité conditionnelle et
nécessité
absolue, comme ils disent », et ce ils désigne « les sophistes », c’e