1 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
1 est devenue, la Suisse n’est pas loin d’être une nécessité . La détruire, la rayer de la carte des États ? Qui saurait, qui pourr
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 , son statut d’exception au cœur du continent, la nécessité conjointe de sa force armée et de sa neutralité « dans l’intérêt de l
3 i, Schwyz et Unterwald s’aperçurent d’abord de la nécessité d’englober dans leur pacte la ville de Lucerne. Celle-ci commandait e
4 ncapable de faire face à une menace étrangère. La nécessité d’un pouvoir central s’imposait, d’autant plus que par réaction au st
5 de 1848 fut adaptée sans difficultés en 1874 aux nécessités nouvelles introduites par le développement économique. Ces dernières
6 rti radical et les socialistes insistaient sur la nécessité d’étatiser et d’uniformiser davantage l’économie, l’administration, l
7 communautés. Enfin, la résultante de cette double nécessité d’autonomie et de coopération s’est trouvée coïncider — à la faveur d
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
8 cision si longtemps suspendue malgré son évidente nécessité  : en quelques mois — les six premiers de 1848 — une Constitution fédé
4 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
9 le monde entier les mesures protectionnistes. La nécessité d’exporter s’est donc accrue en même temps que les barrières douanièr
10 monde entier — bien au-delà de l’Europe — par les nécessités vitales de leur économie. Il n’y a guère que dans le domaine de l’agr
11 s Markgenossenschaften des premiers cantons, à la nécessité de grouper les efforts pour compenser la pauvreté du sol. L’irrigatio
12 ou de grands industriels qui ne reconnaissent la nécessité d’une organisation croissante de l’économie. Depuis 1848, et plus enc
13 te s’est développé en Suisse sous la pression des nécessités pratiques de l’époque, mais en tenant compte des diversités tradition
14 dapter, qu’on peut reprocher aux Suisses, est une nécessité profonde de leur économie, si dangereusement liée, nous l’avons dit,
5 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
15 ngt-cinq patries minuscules, la tolérance est une nécessité vitale. Mais s’il n’est pas question d’éliminer le voisin qui diffère
6 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
16 r la diversité des troupes suisses, soulignait sa nécessité  : Si le fédéralisme est la sauvegarde du pays, l’unification serait
17 e. Au total, il s’agit moins d’un choix que d’une nécessité , et d’une fidélité contractuelle. De plus, à ces reproches d’ordre mo