1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
1 e organique des réalités ainsi jugées, et de leur nécessité , une fois admises certaines options fondamentales. Or comment pourrio
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
2 ou qu’on l’épargne, elle ne sera pas sauvée de la nécessité de renaître un millier ou cent milliers de fois. La métempsycose évac
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
3 yance moderne aux « lois de la science » et aux «  nécessités techniques » en général peut nous donner l’idée de ce que représente
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
4 tler, comme la Déesse Raison de Robespierre cette Nécessité dialectique invoquée par le « Père des peuples » pour mieux décimer s
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
5 laquelle on nous dit qu’il faut « être » de toute nécessité , sous peine de n’être pas. Celle-ci marque un recul devant le risque
6 stoire de l’Europe.) 46. Il faut alors, de toute nécessité , que le succès temporel prenne la place du salut et qu’il tienne lieu
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
7 en, ce sont alors les servitudes de la Nature, la nécessité animale de tuer pour survivre, la maladie, les instincts tyranniques,
8 ique (niveau de vie moyen d’une nation), et les «  nécessités de la défense nationale » déterminent la science même, source des inv
9 a souverainement sur l’absence. Mais les fameuses nécessités techniques ne concerneront plus que lui. Qu’aura-t-il à offrir aux hu
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
10 ns encore d’un peu plus près le malentendu, et la nécessité de le dépasser. Je rappelais que les Orientaux ont multiplié les rece