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ième partieHitler ou l’alibi 15. Où paraît la
nécessité
d’un alibi Il est étrange de constater que depuis la fin du Moyen
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mme, sans son humanité, sans son délire — sans la
nécessité
vitale et créatrice des grands délires qui rythment notre Histoire. L
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des raisons assez précises, toutes les fameuses «
nécessités
» économiques, techniques, sociales et financières. Mais à l’origine
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ociales et financières. Mais à l’origine de ces «
nécessités
» elles-mêmes, je pressens notre obscur désir de fuite dans l’anonyme
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res fonctions naturelles par un certain manque de
nécessité
. Il est nécessaire de manger et de respirer, et il est nécessaire que
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n fonctionnaire, qu’un administrateur des « dures
nécessités
» (ce sont les seules qu’il admette), un agent du Sens de l’Histoire
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t du diable est en fin de compte celle de la dure
nécessité
de prolonger dans le temps nos existences — « persévérer est diaboliq