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u. L’individu est le terme dernier de la division
objective
d’une société au sens des sociologues. Il joue, sur le plan politique
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ocial, comme un élément numérique, indifférencié,
objectif
. On l’obtient par un processus d’isolation. Quel rôle peut jouer la p
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en elle-même n’est passible d’aucune description
objective
. Par rapport à l’ensemble humain, la personne est par excellence le t
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présence effective de l’homme. À l’évolutionnisme
objectif
elle oppose son exigence proximiste. Dans l’ordre personnel, les rela
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efuse de l’exercer, de l’engager dans des limites
objectives
. Il veut se garder pur, et reste virtuel. Il se croit maître de tous
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scender ? ) « la distinction du subjectif et de l’
objectif
». Idée platonicienne et surtout romantique, et qui vaut bien qu’on l
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i le sentiment pour lui-même, mais l’enseignement
objectif
, au sens goethéen de ce terme. Ce n’est pas là, je crois, sa pente na
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ment, à la faveur de mille « observations » dites
objectives
, chargées de nous distraire pendant l’opération, et de nous faire cro
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ue je n’en apporte à la défense de mes intérêts «
objectifs
»… Et ce jeu-là, je suis tellement le seul à en connaître les règles
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particulière à l’époque de M. Lamm serait plus «
objective
» et « scientifique » que la doctrine de Swedenborg, qu’elle prétend
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t de constatations qui dictent à notre action des
objectifs
immédiats : ils seront révolutionnaires au sens que je viens de défin
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se (communistes exclus) quand il s’agit de thèses
objectives
et de programmes d’avenir. C’est le ton et les sentimentalismes qui s
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e et de psychologie : mais les constatations tout
objectives
auxquelles je me suis vu conduit ne sont pas suffisantes en soi. Elle
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’y crois pas du tout. Je ne crois pas aux « faits
objectifs
» dont l’historien prétend communément « partir »109. Je crois qu’il
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nes décisions actuelles. Cette méthode n’a rien d’
objectif
au sens qu’a pris le mot pendant le xixe siècle. En effet, l’objecti
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te la partie de ma lettre relative à l’histoire «
objective
» se trouve être un mauvais résumé des idées de Raymond Aron, que je