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osphère qui faisait que toutes les descriptions «
objectives
» de nos journalistes paraissaient, lues d’ici, décrire un monde fact
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s signifièrent à l’auteur qu’en « prétendant être
objectif
», il « faisait en réalité le jeu d’Hitler ». Cette petite aventure n
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se nécessairement et avant tout la connaissance «
objective
» des faits en discussion, voilà qui, semble-t-il, ne souffre pas le
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r l’Allemagne, commence par récuser les témoins «
objectifs
» en les accusant de « complicité » ? La réponse est fournie par la p
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ge qui consiste à dire : si vous prétendez rester
objectif
en présence de telle ou telle réalité, c’est que vous avez une tendan
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contraints de jeter la suspicion sur l’écrivain «
objectif
» qui leur rappelle les faits. Il me faut souligner, d’ailleurs, que
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ite n’est pas rigoureux dans ce cas. L’écrivain «
objectif
» se voit traité d’hitlérien par certains critiques de gauche, mais n
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tés, etc. Le communiste me refuse le droit d’être
objectif
parce que, en l’étant, je démasque sa vraie passion, sa passion inavo