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lle qu’il nous offre, il n’y a que des faits dits
objectifs
, mais il n’y a plus de significations valables dans tous les plans si
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nstituent le mal. Celui-ci prend alors une valeur
objective
: il devient une réalité autonome et concrète, qu’il s’agit de détrui
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ourquoi il entretient en nous l’illusion d’un mal
objectif
dont il serait évidemment l’auteur. Ce mal en soi n’est pas décrit ni
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de à l’hypothèse matérialiste le droit de se dire
objective
. J’y vois trop facilement le coup de pouce du diable. Certes, je n’ac
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est à l’image de l’histoire mondiale. Jamais nos
objectifs
ne furent plus manifestes. Hitler m’indique en lettres gigantesques t
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ette expérience vécue ne prouve pas l’existence «
objective
» d’une entité correspondante : elle est seulement la condition sine
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ue. — Je n’ai donc nullement établi l’existence «
objective
» du diable en décrivant le mécanisme de la projection, mais j’ai mon
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c’est l’apurement d’un compte, une « constatation
objective
». Conception satanique, me dira-t-on, puisque exclusive du pardon. M