1
e sur l’armée et la mort de la guerre militaire m’
obligent
à vous demander de relire mes lettres. J’avais tout réfuté d’avance.
2
at impitoyablement, par la comparaison qu’il nous
oblige
à faire de l’idéal et du présent. Je propose donc que nous changions
3
lus fort que vous. Et que votre amour blessé vous
oblige
à penser que mes arguments sur les nations, la paix, la Bombe, et le