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ur de soi, qui nous tourmente obscurément et nous
obsède
de craintes et de réticences dont nous ne comprenons pas toujours l’o
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r ma part, je le trouve assez peu humain et comme
obsédé
par une idée de violence tonique certes, mais décidément un peu pauvr
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rin. Ce qui perce à chaque page, ce qui peu à peu
obsède
dans l’inflexion des phrases, ce qui s’élève en fin de compte de tous
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tent deux manières de sentir l’unité d’une époque
obsédée
d’action.) Autour de ces individus — Chinois nationalistes ou terrori
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demain plutôt, — tout comme Nietzsche qui en fut
obsédé
. Empédocle est de ces mythes tels qu’il n’est peut-être pas donné à u
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moins très sévère ». Gagner 40 000 francs. Mourir
obsédé
par ce travail. Ainsi cette vie est bien d’un seul tenant ; une seule
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Qu’est-ce que la foi ? Hegel, dont la philosophie
obsède
à ce moment l’esprit de Kierkegaard, Hegel esquive la question, la su
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p. 19). Cette généalogie des monstres germaniques
obsède
décidément nos universitaires. Elle relève d’un nationalisme de manue
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à la surface des objets, mains rêveuses ou mains
obsédées
, mains incertaines, circonspectes, tâtonnantes et minutieuses, mains
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de métaphysique et de l’angoisse sociale qui nous
obsèdent
. Individu et masses, telles sont les déviations d’une tradition qui s
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à la surface des objets, mains rêveuses ou mains
obsédées
, mains incertaines, circonspectes, tâtonnantes et minutieuses, mains
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de métaphysique et de l’angoisse sociale qui nous
obsèdent
. Individu et masses, telles sont les déviations d’une tradition qui s
13
e l’état moral de l’époque, est à la fois de nous
obséder
par l’idée d’un bonheur facile, et du même coup de nous rendre inapte
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s brusques écarts, comparables aux calembours qui
obsèdent
un esprit fatigué : on se laisse aller à des « rapprochements » idiot
15
ion de la passion que ce souci des lendemains qui
obsède
aujourd’hui tant de fronts ? Notre vie ne se joue pas dans l’au-delà
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’être aimé. Mais le platonisme dégénéré, qui nous
obsède
, nous rend aveugles à la réalité de l’objet tel qu’il est dans sa vér
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intoxiquée. L’« authentique » dont le désir nous
obsède
, nous ne pourrons pas le retrouver. Il n’est pas au terme d’un mouvem
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e l’état moral de l’époque, est à la fois de nous
obséder
par l’idée d’un bonheur facile, et du même coup de nous rendre inapte
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s brusques écarts, comparables aux calembours qui
obsèdent
un esprit fatigué : on se laisse aller à des « rapprochements » idiot
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ion de la passion que ce souci des lendemains qui
obsède
aujourd’hui tant de fronts ? Notre vie ne se joue pas dans l’au-delà
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’être aimé. Mais le platonisme dégénéré, qui nous
obsède
, nous rend aveugles à la réalité de l’objet tel qu’il est dans sa vér
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intoxiquée. L’« authentique » dont le désir nous
obsède
, nous ne pourrons pas le retrouver. Il n’est pas au terme d’un mouvem
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ésultat de cette propagande est à la fois de nous
obséder
par l’idée d’un bonheur facile, et du même coup de nous rendre inapte
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oi suis-je marié ? Et il est non moins naturel qu’
obsédé
par la propagande universelle pour la romance, l’on admette la premiè
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s brusques écarts, comparables aux calembours qui
obsèdent
un esprit fatigué : on se laisse aller à des « rapprochements » idiot
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ion de la passion que ce souci des lendemains qui
obsède
aujourd’hui tant de fronts ? Notre vie ne se joue pas dans l’au-delà
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’être aimé. Mais le platonisme dégénéré, qui nous
obsède
, nous rend aveugles à la réalité de l’objet tel qu’il est dans sa vér
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intoxiquée. L’« authentique » dont le désir nous
obsède
, nous ne pourrons pas le retrouver. Il n’est pas au terme d’un mouvem
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ésultat de cette propagande est à la fois de nous
obséder
par l’idée d’un bonheur facile, et du même coup de nous rendre inapte
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oi suis-je marié ? Et il est non moins naturel qu’
obsédé
par la propagande universelle pour la romance, l’on admette la premiè
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s brusques écarts, comparables aux calembours qui
obsèdent
un esprit fatigué : on se laisse aller à des « rapprochements » idiot
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ion de la passion que ce souci des lendemains qui
obsède
aujourd’hui tant de fronts ? Notre vie ne se joue pas dans l’au-delà
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a Bible. Il rôde autour de nous comme un gangster
obsédé
par le kidnapping. Ses victoires, il est vrai, seront toujours stéril
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t perdre, ou pire : c’était mal vu. Aujourd’hui l’
obsédé
se rend intéressant. Tous les romanciers l’étudient. Loin de lutter c
35
tard on dit : « C’était fatal. Voilà, je suis un
obsédé
. » On y voit une excuse et non plus une défaite, — et moins encore un
36
, la contamine, la dénature, ou lui rend un culte
obsédé
. L’idéalisation romantique de l’amour dans l’époque moderne, entraîna
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a Bible. Il rôde autour de nous comme un gangster
obsédé
par le kidnapping. Ses victoires, il est vrai, seront toujours stéril
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t perdre, ou pire : c’était mal vu. Aujourd’hui l’
obsédé
se rend intéressant. Tous les romanciers l’étudient. Loin de lutter c
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tard on dit : « C’était fatal. Voilà, je suis un
obsédé
. » On y voit une excuse et non plus une défaite, — et moins encore un
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, la contamine, la dénature, ou lui rend un culte
obsédé
. L’idéalisation romantique de l’amour dans l’époque moderne, entraîna
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a Bible. Il rôde autour de nous comme un gangster
obsédé
par le kidnapping. Ses victoires, il est vrai, seront toujours stéril
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t perdre, ou pire : c’était mal vu. Aujourd’hui l’
obsédé
se rend intéressant. Tous les romanciers l’étudient. Loin de lutter c
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tard on dit : « C’était fatal. Voilà, je suis un
obsédé
. » On y voit une excuse et non plus une défaite, — et moins encore un
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, la contamine, la dénature, ou lui rend un culte
obsédé
. L’idéalisation romantique de l’amour dans l’époque victorienne, entr
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, la contamine, la dénature, ou lui rend un culte
obsédé
. L’idéalisation romantique de l’amour dans l’époque moderne, entraîna
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moins très sévère ». Gagner 40 000 francs. Mourir
obsédé
par ce travail. Ainsi cette vie est bien d’un seul tenant ; une seule
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les troubadours — et grâce à la littérature, elle
obsède
nos rêves, elle met un « tourment délicieux » dans nos vies. Sous des
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uropéenne. L’amiral de la mer Océane était certes
obsédé
par l’Or. Pourtant l’or était loin de signifier à ses yeux ce qu’il p
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émenties par les agences rivales : ce procédé qui
obsède
encore les foules est périmé. Ce n’est plus l’exactitude des nouvelle
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liste à l’extérieur. Elle observe que les nations
obsédées
par le problème de leur unité collaborent mal avec les autres : qu’un
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vie. 59. — « Vous allez croire que je suis un
obsédé
, me dit-il en riant, mais vos troubadours, je ne puis m’empêcher de p
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été. Dès ce moment, l’Amérique et la Russie vont
obséder
l’imagination historique des « peuples du noyau ». L’Amérique et la R
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’est la devise inverse que proposait le fascisme,
obsédé
par la Rome impériale dont il n’est pas certain qu’il l’avait mieux c
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le de Rougemont comme symbole d’un “européanisme”
obsédé
par le progrès économique ; je m’étais étonné qu’un “Européen” aussi
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e, et ce danger virtuel d’explosion atomique nous
obsède
et nous fascine au point de nous faire oublier le danger bien réel et
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incurable, bricoleur sans culture ni génie, était
obsédé
par l’idée de construire une « locomotive routière », comme il l’appe
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t la vie. Telle qu’elle est devenue de nos jours,
obsédée
d’efficacité immédiate et rentable à court terme, pour la défense mil
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Ce rêveur incurable, bricoleur sans génie, était
obsédé
par l’idée de construire une « locomotive routière », c’est-à-dire un
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é commence par brider sévèrement son imagination,
obsédé
qu’il est par la crainte que ses projets ne soient pas « sérieux », c
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olitique centralisatrice et unitaire, secrètement
obsédée
par un rêve d’autarcie, et cette mise en question, voire en accusatio
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olitique centralisatrice et unitaire, secrètement
obsédée
par un rêve d’autarcie, et cette mise en question, voire en accusatio
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e roman breton —, et grâce à la littérature, elle
obsède
nos rêves, elle met un « tourment délicieux » dans nos vies. Sous des
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olitique centralisatrice et unitaire, secrètement
obsédée
par un rêve d’autarcie, et cette mise en question, voire en accusatio
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refuser l’union au nom de « l’indépendance » qui
obsède
les ministres, mais n’obsède qu’eux, et qui n’est plus qu’une nostalg
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l’indépendance » qui obsède les ministres, mais n’
obsède
qu’eux, et qui n’est plus qu’une nostalgie. Diront-ils enfin que les
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la nature. Simplement : il ne fait pas attention,
obsédé
qu’il est par le profit, par les gains immédiats. C’est cette attitu
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émenties par les agences rivales : ce procédé qui
obsède
encore les foules est périmé. Ce n’est plus l’exactitude des nouvelle
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réelles. Telle qu’elle est devenue de nos jours,
obsédée
d’efficacité immédiate et rentable à court terme, pour la défense mil
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olitique centralisatrice et unitaire, secrètement
obsédée
par un rêve d’autarcie, et cette mise en question, voire en accusatio
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’existait pas. Grâce à la littérature, la passion
obsède
nos rêves. Et c’est une invention spécifique de la culture européenne
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jeur à toute union sérieuse qu’est l’État-nation,
obsédé
par ses droits souverains, d’ailleurs de plus en plus fictifs. Peu d’
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nt de grandes centrales ? On dirait que cela vous
obsède
! Mais le Soleil n’appartient à personne ! Vous n’avez aucun droit su
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rait l’Occident dans les cavernes. L’argument les
obsède
visiblement. Il évoque leurs déclarations sur l’évacuation des déchet
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finitude de l’homme ». Cette dernière expression
obsède
les analyses de Foucault et de Lévi-Strauss. L’homme s’y voit toujour
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udeurs du langage diplomatique européen, toujours
obsédé
par le respect religieux des souverainetés nationales absolues, et qu
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s, plus détendu : « Vous allez penser que je suis
obsédé
, mais je ne puis m’empêcher de croire que vos troubadours étaient hom