1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 profanée de savoir-vivre — les usages qu’il faut observer si l’on veut être un gentleman — perdra ses dernières vertus, la pass
2 sa dame ». Tristan choisira donc, dans ce cas, d’ observer la fidélité féodale, masque et complice énigmatique de la fidélité co
3 ent en jeu, chevalerie et morale féodale, ne sont observées par l’auteur que dans les seules situations où elles permettent au ro
4 le, I, p. 512. 12. Précisons que : 1° elles sont observées tour à tour, en vertu d’un calcul secret ; car si l’on choisissait l’
5 ouerait trop vite ; 2° elles ne sont pas toujours observées  : ainsi le péché consommé dès que les amants ont bu le philtre est un
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
6 le se fondait à l’origine fût toujours et partout observé  ; ou qu’il fût en soi univoque. L’exaltation de la chasteté produit p
3 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
7 es divins de l’amour sexuel. À l’inverse, on peut observer chez les mystiques les plus « christocentriques » une propension à s’
8 t dans les traités spirituels du xvie siècle, on observe d’intéressantes analogies de fond et de forme. a) le noble langage d
4 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
9 y oppose énergiquement, et c’est la guerre. Or on observe qu’une nation dans son premier essor passionnel recule rarement devan
5 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
10 n de la passion : il suffit, pour l’apercevoir, d’ observer que la passion, quelle qu’elle soit, ne peut ni ne veut « avoir raiso
11 e ou hédoniste, je ne parlerai que d’une fidélité observée en vertu de l’absurde, parce qu’on s’y est engagé, simplement, et que