1 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
1 nt beaucoup d’hommes capables, en se promenant, d’ observer , de réfléchir et de comparer. Et quant aux vieilles gens qui, comme m
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 ntière ». C’est un Suisse, Benjamin Constant, qui observait que les gouvernements, lorsqu’ils parlent d’arrondir leurs frontières
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
3 rgane d’exécution, et devient à son tour, comme l’ observe A. Gasser « un instrument de la centralisation ». En Suisse, au contr
4 ins planifiée s’impose de toute évidence. On n’en observe pas moins, depuis quelques années, un vigoureux renouveau du « fédéra
4 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
5 très loin, dans les usines suisses, tout ce qu’on observe dans le reste du monde. À cette stratégie efficace, à ces qualités de
6 listes ». Ce n’est pas entre les classes que l’on observe les plus grands contrastes, mais plutôt entre les cantons. Fait remar
5 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
7 parlent entre elles — à l’inverse de ce que l’on observe en Amérique. En dépit de cette absence de droits politiques, les femm