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ions modernes ne fait que reproduire, en grand, l’
obstacle
constant, à travers les siècles de l’histoire de la Grèce ancienne, à
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ns dit que cette diversité n’est pas seulement un
obstacle
à l’union, mais qu’elle est absolument valable en soi, et précieuse.
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e celui de l’union de l’Europe. Mais le principal
obstacle
à cette union est dans l’existence des États-nations et dans l’attach
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ique de notre histoire : c’est sur la base de cet
obstacle
radical à toute union que l’on s’efforce, depuis vingt-cinq ans, d’un
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ne simple limite administrative, qui ne fait plus
obstacle
à la libre circulation des biens et des personnes. Et voilà pourquoi,
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t d’unir sans unifier. Actuellement, le principal
obstacle
à la réalisation de l’Europe est l’État-nation. L’échec de la constru
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et sont conclues pour les garantir. Le plus grand
obstacle
peut-être, actuellement, c’est la confusion dans les termes employés,
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ur la base des États-nations actuels qui sont les
obstacles
à toute union ; on unira l’Europe sur la base des régions telles qu’e
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er : régime anémiant des « cultures nationales »,
obstacles
aux échanges de tous ordres, persécution des minorités et conformisme
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ificiel de l’ensemble européen en États-nations :
obstacles
aux échanges de tous ordres causés par les frontières, par les visas,
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rels. Toute culture est faite d’échanges, et tout
obstacle
à ces échanges est un affaiblissement pour la culture. Donc, la dimin