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ur de soi, qui nous tourmente obscurément et nous
obsède
de craintes et de réticences dont nous ne comprenons pas toujours l’o
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r ma part, je le trouve assez peu humain et comme
obsédé
par une idée de violence tonique certes, mais décidément un peu pauvr
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rin. Ce qui perce à chaque page, ce qui peu à peu
obsède
dans l’inflexion des phrases, ce qui s’élève en fin de compte de tous