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e roman breton —, et grâce à la littérature, elle
obsède
nos rêves, elle met un « tourment délicieux » dans nos vies. Sous des
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olitique centralisatrice et unitaire, secrètement
obsédée
par un rêve d’autarcie, et cette mise en question, voire en accusatio
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refuser l’union au nom de « l’indépendance » qui
obsède
les ministres, mais n’obsède qu’eux, et qui n’est plus qu’une nostalg
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l’indépendance » qui obsède les ministres, mais n’
obsède
qu’eux, et qui n’est plus qu’une nostalgie. Diront-ils enfin que les