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ériel largement partagé par toutes les classes. L’
Occidental
retour d’Orient s’écrie : « Je n’ai vu que des foules, pas une person
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de notre vie terrestre.) Dans son Récit de l’exil
occidental
de l’âme, Sohrawardi décrit le pèlerinage de l’âme, son « exil » dans
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des présocratiques à nos jours, tous les esprits
occidentaux
nourris de la pensée mystique du Proche-Orient8 ont accolés à nos deu
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de l’âme, voire une « orientation » de la psyché
occidentale
. Mais, du prestige de cet Orient qui n’est pas celui de l’atlas, l’Or
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: voie de la connaissance directe de l’Esprit. L’
Occidental
, tournant le dos au soleil, en lequel il croit sans le voir, décide d
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la maîtrise de ses structures.) Le danger, pour l’
Occidental
, c’est l’incarnation trop complète. (On se perd soi-même dans la mati
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ga atteindre la libération. » (Yoga-anka.) Pour l’
Occidental
au contraire, il s’agit de connaître Dieu non pas en écartant le mond
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à l’Un, à la divinité, ne serait-ce pas, pense l’
Occidental
, une illusion psychologique chez les très rares qui disent y être par
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Hindou grégaire n’est seul que devant le divin. L’
Occidental
, jaloux de sa vie privée, s’assemble dans l’église où l’on chante des
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t plus naturelle qu’on ne le pense à l’esprit des
Occidentaux
, mais elle n’a pas d’effet dans leur vie religieuse, moins encore dan
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t s’en dégagent. La réaction de nos deux auteurs
occidentaux
n’est pas moins significative, pour notre objet présent que les histo
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ibn Yaqzân. Celui de Sohrawardi : Récit de l’exil
occidental
de l’âme. Le premier date du xe siècle, le second du xiie siècle.
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, p. 9-22. Il s’agit du chapitre I de L’Aventure
occidentale
de l’homme , qui sera publié chez Albin Michel en février 1957.
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teur ». C’est donc sa récente Aventure de l’homme
occidental
(Albin Michel, éd.) qui est aujourd’hui orné de ce laurier. Des prix
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nt dans l’armée suisse ? » L’Aventure de l’homme
occidental
qui paraît simultanément à New York, Londres et Paris est destinée,
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un poème un livre tel que L’Aventure de l’homme
occidental
. Le style me paraît aussi important que les idées qu’on veut défendr
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nir tel que l’imaginaient la plupart des penseurs
occidentaux
, jusqu’à ces toutes dernières années. Un certain déterminisme économi
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nglais d’automation. Il est curieux que la pensée
occidentale
, découvrant le péril avec cent ans de retard, ait porté sa colère con
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Le rôle mondial des valeurs
occidentales
(octobre 1957)f L’énoncé des plus hautes valeurs européennes tient
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ien rappeler ici qu’une réflexion sur nos valeurs
occidentales
ne saurait être académique ; elle s’inscrit dans une situation dominé
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se figurer l’aire de diffusion de la civilisation
occidentale
, on s’aperçoit qu’elle n’est pas loin de recouvrir l’ensemble des ter
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ays du Commonwealth forment une zone de diffusion
occidentale
parfois plus homogène, mais un peu moins dense, parce que moins ancie
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par les Balkans, est demeuré sans nul doute moins
occidental
que ne le sont devenus le Canada, le Chili ou l’Australie. Vient ensu
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leur mode d’emploi et donne un sens à l’aventure
occidentale
, ce système de valeurs reste ignoré, refusé d’instinct par les masses
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les éléments caractéristiques de la civilisation
occidentale
en trois ordres : produits, principes de vie publique et valeurs. Pr
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alement chaotiques. Le contact de la civilisation
occidentale
et des coutumes arabes en Algérie nous en donne un exemple tragique.
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ier européen ». f. « Le rôle mondial des valeurs
occidentales
», Occident, Bruxelles, n° 4, octobre 1957, p. 39-42. Précédé du chap
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it parfois oublier le rôle que jouent les valeurs
occidentales
même dans les pays qui ne se sentent pas ou ne se veulent pas des nôt
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sent à l’Occident. Son dernier livre, L’Aventure
occidentale
de l’homme , a été analysé dans notre n° 3. M. de Rougemont dirige le
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olonialisme européen que coïncide cette contagion
occidentale
accélérée dans tous les peuples de Bandung. Désormais délivré de notr
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teur de L’Amour et l’Occident et de L’Aventure
occidentale
de l’homme (que les lecteurs de Réalités connaissent bien par ses ar
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Appareil, des cadres du régime. 37. L’Aventure
occidentale
de l’homme , 1957. o. « Originalité de la culture européenne comparé
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ormes de vie matérialistes que notre civilisation
occidentale
propage aveuglément sur toute la terre, et qui, sous les meilleurs pr
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ormes de vie matérialistes que notre civilisation
occidentale
propage aveuglément sur toute la terre, et qui, sous les meilleurs pr
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n de la civilisation gréco-romaine dans la partie
occidentale
de l’Empire au moins. Cet exemple est-il valable pour nous ? La civil
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vertus et ce ne sera pas dans un esprit d’orgueil
occidental
, mais avec le souci de décrire les idéaux les plus efficaces de notre
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ulture et technique (juillet 1961)w L’économie
occidentale
d’aujourd’hui est dominée par l’industrie ; or le moteur de notre dév
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r à quel point la technique résulte de la culture
occidentale
et s’en nourrit, et à quel point cette culture occidentale peut à son
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le et s’en nourrit, et à quel point cette culture
occidentale
peut à son tour bénéficier de la technique. Je suis pour ma part conv
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, poésie et littérature —, a produit la technique
occidentale
; et que la technique ne saurait faire de vrais progrès si elle se co
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t le type même du faux problème. Car sans culture
occidentale
, point de technique, au sens actuel, au sens universel du terme ; et
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echnique, point d’avenir pour la culture, au sens
occidental
du terme. L’une se nourrit de l’autre et l’une sans l’autre serait co
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s de nos découvertes. En résumé — notre technique
occidentale
est née du rêve occidental, de ce même rêve qui a créé notre culture
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umé — notre technique occidentale est née du rêve
occidental
, de ce même rêve qui a créé notre culture ; — la technique n’est donc
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je crois illusoire — de la mise en esclavage des
Occidentaux
par leurs machines, et le danger — beaucoup plus sérieux à mon sens —
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us d’un siècle pour une partie de nos populations
occidentales
, ce fut le sort du travailleur industriel, de cet immense prolétariat
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primitive, inhumaine et cruelle, de la technique
occidentale
. Chose étrange et bien remarquable, ce ne sont pas les justes indigna
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ppera l’automation. Imaginons donc notre humanité
occidentale
partiellement libérée du travail mécanique, pourvue de loisirs tout n
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o, la télévision et les disques, toute la musique
occidentale
est mise à la portée instantanée de tous les amateurs de musique, et
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endront des poisons. Il est donc temps, pour nous
Occidentaux
, d’adjoindre à l’assistance technique dont tout le monde parle et que
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ne. Quatrième et dernière conclusion : L’économie
occidentale
qui sait bien qu’elle dépend de la technique, doit comprendre aussi q
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es quasi sacrées, d’un des grands mythes de l’âme
occidentale
. Mais qu’est-ce qu’un mythe, et qu’est-ce que l’âme ? Tout auteur qui
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oit, depuis le xiie siècle, et dans nos sociétés
occidentales
, son pouvoir à jamais contagieux. Ceci posé — et je m’excuse du ton q
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rattachent deux grandes traditions de la culture
occidentale
: le romantisme et le roman. Retracer leur évolution du xiiie siècle
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ssais très attachants sur l’aventure, sur l’homme
occidental
, sur l’Europe. Ses analyses l’ont conduit à retrouver le mythe de Tri
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prendre au sérieux les principes de notre culture
occidentale
, et d’abord à les mieux connaître. Que servirait de doter l’Europe d’
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nde, d’où l’affaiblissement général des positions
occidentales
, une série de crises économiques, une arrogance accrue des peuples ne
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ivres qui aient changé le cours de notre histoire
occidentale
. Et de nouveau, il fuit devant l’éclat que fait dans le monde ce « pe