1 et peut-être surtout, un renouveau de l’aventure occidentale dans son avidité de tout « comprendre », tout explorer, tout intégrer

2 t d’accélération de cette dialectique du créateur occidental qui crée toujours contre ce qui l’a précédé (Malraux), contre les mod

3 entropie, dont il admet que l’activité de l’homme occidental serait le facteur principal d’accroissement. J’accepte sans réserve

4 3 à 1975. Voir aussi D. de Rougemont, L’Aventure occidentale de l’homme , Paris, 1957, et Les Chances de l’Europe , 1962. 17. Cf

5 dition qui est celle de la vitalité de la culture occidentale , et qui conduit en tous domaines à unir dans le respect et la force d

6 ituelle, on ne peut le comparer dans la tradition occidentale , chrétienne, qu’aux « Nouveaux Cieux », à la « Nouvelle Terre », à la

7 t alors le seul nom de l’Europe —, fonde le dogme occidental de la souveraineté d’abord limitée, finalement absolue, des rois, pui

8 ici les étapes du progrès d’un mal spécifiquement occidental , mais dont la prolifération mondiale combinée avec les armements nucl

9 nous sommes en droit d’espérer que notre problème occidental actuel trouvera sa solution — pour autant qu’on puisse en trouver une

10 ale et culturelle byzantine, et celle de l’Europe occidentale . Ce qui, selon vous, définit l’héritage de Byzance est devenu, de tou

11 de ce qu’a déchaîné sur le monde la civilisation occidentale . Je vois là un nouveau sujet de colloque extrêmement important. Ce se

12 ons jamais assez : toutes les nations de l’Europe occidentale sont aujourd’hui totalement solidaires pour la guerre ou pour la paix

13 end d’autres pays que les démocraties de l’Europe occidentale  » (…) « On peut imaginer que la Commission Colombo va consacrer une a