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ilisation poursuit depuis près de deux siècles, l’
Occidental
est saisi d’un étrange malaise. Il soupçonne, par éclairs, qu’il y av
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l a atteint l’objectif de la moderne civilisation
occidentale
. Voici donc venue l’heure de la juger. Le héros de l’époque, c’est l’
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resque plus rien à l’Univers. Par la technique, l’
Occidental
a prétendu maîtriser la matière et parvenir à une liberté plus haute.
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s Le Progrès de la conscience dans la philosophie
occidentale
, p. 695.) 8. Les humanités y trouveraient bien leur place : la conna
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ntrée de notre mère l’Europe », un lieu où la vie
occidentale
se trouve « décantée jusqu’à l’essence, tout ce qui allongeait la sau
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me qui est l’état économique ». Si les mœurs sont
occidentales
, les habitants, eux, viennent de tout l’Orient. « On pense à une Genè
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ous le règne du christianisme. Mais le plus grand
Occidental
fut-il chrétien ? Nous ne saurions, surtout dans Foi et Vie , aborde
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u plus de 400 ans : je le vois au centre du débat
occidental
par excellence, — mais au centre, aussi, de la Réforme, et de l’effor
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lles créées par l’évangélisation de la conscience
occidentale
. D’autre part, si les démocraties capitalistes et individualistes tri