1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 ilisation poursuit depuis près de deux siècles, l’ Occidental est saisi d’un étrange malaise. Il soupçonne, par éclairs, qu’il y av
2 l a atteint l’objectif de la moderne civilisation occidentale . Voici donc venue l’heure de la juger. Le héros de l’époque, c’est l’
3 resque plus rien à l’Univers. Par la technique, l’ Occidental a prétendu maîtriser la matière et parvenir à une liberté plus haute.
2 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
4 s Le Progrès de la conscience dans la philosophie occidentale , p. 695.) 8. Les humanités y trouveraient bien leur place : la conna
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
5 ntrée de notre mère l’Europe », un lieu où la vie occidentale se trouve « décantée jusqu’à l’essence, tout ce qui allongeait la sau
6 me qui est l’état économique ». Si les mœurs sont occidentales , les habitants, eux, viennent de tout l’Orient. « On pense à une Genè
4 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
7 ous le règne du christianisme. Mais le plus grand Occidental fut-il chrétien ? Nous ne saurions, surtout dans Foi et Vie , aborde
5 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
8 u plus de 400 ans : je le vois au centre du débat occidental par excellence, — mais au centre, aussi, de la Réforme, et de l’effor
6 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
9 lles créées par l’évangélisation de la conscience occidentale . D’autre part, si les démocraties capitalistes et individualistes tri