1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 alisation de leur destin. Rimbaud est notre mythe occidental  : mythe faustien. Il a vécu tragiquement la tentation orientale, l’a
2 eut-être le plus important qui se pose à l’esprit occidental , dès qu’il atteint les régions de haute tension où la seule « orienta
3 la marque même de la réalité dans une conscience occidentale . Supprimez l’un des termes, et la vie se détend, le tragique s’évanou
4 l’immédiat éthique. Et quels sont les plus grands Occidentaux  ? Ceux qui ont incarné le choix le plus audacieux. Pascal choisit une
5 voir « l’amour d’en haut ». Car telle est le yoga occidental , dont le Second Faust restera comme le livre sacré. Que cette discipl
2 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
6 blèmes du temps et de tous les temps : la musique occidentale , les méfaits de Cicéron, le commerce des vins dans la vallée du Rhône
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
7 mbole d’une révolution astronomique de la culture occidentale . Peut-être avons-nous passé l’âge de l’inhumaine, de la blasphématoir
4 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
8 légitimer sa différence, on ne pouvait être plus occidental . On ne pouvait être moins mystique au sens des religions traditionnel
5 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
9 La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)au Pourquoi l’Europe a-t-elle créé les sciences physi
10 mosaïque jusqu’aux débuts du siècle dernier, les Occidentaux n’ont presque pas varié quant à la date de naissance de l’humanité. U
11 notre influence55. Toute réflexion sur l’Aventure occidentale se doit d’affronter ce contraste et d’essayer de l’interpréter. Et, e
12 l’esprit des Pères — par les plus grands docteurs occidentaux , tant orthodoxes que semi-hérétiques : Albert le Grand, Thomas d’Aqui
13 premier lieu par le message chrétien, l’humanité occidentale a dû trouver les moyens de l’accepter progressivement et d’y adapter
14 t — mais je ne pense pas en droit — contre l’idée occidentale de l’homme. L’importance apparente des collectivités, des civilisatio
15 nsi conjugue une bonne partie de l’intelligentsia occidentale du xxe siècle. Comme il est clair qu’on ne peut pas « être » dans l’
16 s comment la situer dans l’ensemble de l’Aventure occidentale  ? Est-elle le signe annonciateur d’une fin lugubre, ou seulement d’un
17 la vérité elle-même. Solution masochiste, pour un Occidental . L’individu trouve le défi trop lourd. Dans un cosmos qui se calcule
18 ance. au. « La découverte du temps ou l’aventure occidentale  », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 51, mars 1957, p. 400-415.
6 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
19 ui sont imposés par la technique et par l’hygiène occidentales , et cherche à les résoudre à l’aide d’un socialisme qui ne doit rien
20 otisme et l’amour du prochain, sont des problèmes occidentaux , posés à tous par les rigueurs mal tolérées de dogmes et de doctrines
21 ns sur lui, il en jaillit un monde ou l’autre : l’ Occidental ou l’Oriental. Tous les risques d’erreur sont de notre côté, nous les
22 essus entièrement matériel calculé par la science occidentale  : mais personne ne sera là pour constater que leurs doctrines sur la
23 uddhist, p. 39.) La psychologie dont il parle est occidentale . Cherchant à guérir les « maladies du moi », elle le confirme comme e
24 nditionnant la « vie ») en termes de métaphysique occidentale . Mais Stéphane Lupasco y aura sans doute pensé. av. « La personne, l