1 milliers de monuments dans presque toute l’Europe occidentale . Ses origines demeurent encore mystérieuses, mais sont certainement p

2 ) ont recouvert la majeure partie de la péninsule occidentale , à l’exclusion toutefois de l’Italie et de la Grèce, où ils n’ont fai

3 s poètes, sculpteurs et peintres de vingt siècles occidentaux feront jouer leur imagination sensuelle du Mythe, et cela va des méto

4 ion venue du Proche-Orient sur l’obscur continent occidental , qui va prendre le nom de sa précieuse proie. Nous ne donnerons pas i

5 dants de Japhet qu’aurait été promis le continent occidental . Mais que penser du rapprochement que l’on a fait (et que Robert Grav

6 une sorte de cap du vieux continent, un appendice occidental de l’Asie. Cela fit naguère sensation. Il s’agit en réalité d’un lieu

7 ’Europe soit nommée en lieu et place de la moitié occidentale de l’Empire, l’Asie en lieu et place de la moitié orientale : ainsi d

8 de l’âme, voire une « orientation » de la psyché occidentale . Ajoutons à tout cela l’influence de plusieurs passages des psaumes,

9 res Romanas pertinentes, 1906. 26. L’Aventure occidentale de l’homme , Albin Michel, Paris, 1957. 27. L’auteur se trompe sur c

10 rial tout à la fois, une confédération de princes occidentaux se dessine vaguement dans l’ombre des intrigues pré-nationales, et se