1 ouvelles sur les mythes érotiques dans la culture occidentale , et sur les personnages imaginaires du roman et de l’opéra en lesquel

2 ue qui est l’un des secrets décisifs de la psycho occidentale . Je ne vois guère de domaine, en effet, où les malentendus invétérés

3 rs, demeuraient tributaires de cette même société occidentale dont ils surent génialement dénoncer les « bons motifs » de s’aveugle

4 ) n’enferment pas toute la réalité, ni de l’homme occidental , ni de l’homme en général. Marx et Freud partageaient malgré tout ave

5 de vocabulaire est le fait de toute notre culture occidentale . 5. La grande mystique chrétienne, bien qu’annoncée par saint Augus

6 IINaissance de l’érotisme occidental Apparu pour la première fois aux lisières médiévales de l’inconscie

7 ), l’érotisme n’accède au niveau de la conscience occidentale qu’au début du xixe siècle : c’est la grande découverte des romantiq

8 ient eu recours aux mythes extrêmes de l’érotique occidentale  : Don Juan, Tristan. 9. Le mot apparaît chez Kierkegaard dès 1843.

9 u sein des œuvres d’imagination de la littérature occidentale . Et nous pouvons enfin les reconnaître à l’œuvre dans la vie de perso

10 le et la plus largement répandue dans notre monde occidental  : qui n’a pas été amoureux ou malheureux de l’être pas, ou tout au mo

11 nom. C’est l’érotisme qui travaille les sociétés occidentales , de l’ouest à l’est, et non pas la sexualité proprement dite, instinc

12 s l’évolution de la culture et de l’anthropologie occidentales . C’est l’éternel débat entre la Gnose ardente et la Sagesse modératri

13 tensions, comme j’incline à le croire en tant qu’ Occidental , soit dans cette vision purifiée dont nous parlent les Orientaux, et

14 . Trop longtemps négligées ou niées par la pensée occidentale , qui ne prenait au sérieux que l’esprit et le corps, les forces animi

15 n’a qu’un précédent dans l’histoire de la culture occidentale  : il se situe de la manière la plus précise au xiie siècle. Depuis l

16 int concret, et que l’angoisse compréhensible des Occidentaux d’aujourd’hui conduit en général à trancher brutalement avant de l’av

17 l’inverse. Ce qui est certain, c’est que le roman occidental n’a jamais décrit, jusqu’ici, de passion qui s’enflamme pour un objet

18 élire se déclare ? J’entends parler de la société occidentale , c’est-à-dire de l’Europe et de ses prolongements en Amérique et en R

19 e dernier roman d’amour-passion de la littérature occidentale . Le Docteur Jivago de Boris Pasternak n’est pas un acte politique, se

20 ariage est une terre inconnue pour la littérature occidentale . Il se peut que Musil, à son insu, l’ait approchée plus que nul autre

21 paie de sa vie. Or il existe, dans la littérature occidentale , un prototype de cette action tragique, une pièce célèbre dont il nou

22 urs épiphanies les plus parfaites dans le lyrisme occidental . À la quête spirituelle d’une vision juste, ou peut-être seulement d’

23 auche à l’aventure au profond des forêts de l’âme occidentale . Arrêtons-nous ici pour méditer. Et nous suivrons tantôt cette allée

24 l’opéra, du mythe, et de l’essence de la musique occidentale . En voici l’argument condensé. Le christianisme, étant esprit, a posé

25 mythes les plus contraignants que subit la psyché occidentale . La fonction civilisatrice, ordonnatrice et dynamique qui pourrait au

26 légitimer sa différence, on ne pouvait être plus occidental . On ne pouvait être moins mystique au sens des religions traditionnel

27 ui sont imposés par la technique et par l’hygiène occidentale , et cherche à les résoudre à l’aide d’un socialisme qui ne doit rien

28 otisme et l’amour du prochain, sont des problèmes occidentaux , posés à tous par les rigueurs mal tolérées de dogmes et de doctrines

29 ns sur lui, il en jaillit un monde ou l’autre : l’ Occidental ou l’Oriental. Tous les risques d’erreur sont de notre côté, nous les

30 essus entièrement matériel calculé par la science occidentale  : mais personne ne sera là pour constater que leurs doctrines sur la

31 uddhist, p. 39.) La psychologie dont il parle est occidentale . Cherchant à guérir les « maladies du moi », elle le confirme comme e

32 nditionnant la « vie ») en termes de métaphysique occidentale . Mais Stéphane Lupasco y aura sans doute pensé.

33 toutes les vérités de la morale et de la culture occidentales , — avant d’en retrouver quelques-unes mieux comprises, au retour d’un

34 me et sexualité Je trouve ceci dans un ouvrage occidental sur le yoga : « Il faut convenir que l’exaltation effrénée de la sexu

35 pour ainsi dire physiologique, tandis que chez l’ Occidental il est masqué et relégué aux arrière-plans de la conscience par un se

36 s la cortezia que je vois l’origine de l’érotisme occidental , et des problèmes qu’il ne cesse de poser et de reposer dans tous les