1 pour peu qu’il se donne pour chrétien ; enfin des Occidentaux les plus conscients de leurs valeurs à certains spirituels de l’islam

2 ée, indissolublement, à une histoire de la pensée occidentale , à une tranche très brève de l’histoire (3000 ans, 8000 ans, il n’imp

3 ses auteurs récents, mais toute la pensée du type occidental . Gardons-nous d’admettre — ce serait leur faire injure — qu’ils aient

4 u même aux platitudes rationalistes de l’athéisme occidental , qu’ils ont largement reniés. Ils insistent, au contraire, par ce tou

5 sera coupée de ses racines. Car toute la culture occidentale est née de la théologie et de la liturgie chrétienne ; soit en se sou

6 en et mal, nous est donné dans notre civilisation occidentale par la Bible. Et la liturgie fait vivre ces mots dans leur contexte b

7 lisme des Juifs d’Orient, au contact des coutumes occidentales , se mue en son contraire. Bien sûr, ceux qui ont cessé de croire à la

8 la théologie chrétienne pour la mère de la pensée occidentale , de même que l’Église, par son culte, est la mère de presque tous nos

9 riagebd Puisqu’il n’y a pas de famille au sens occidental du terme, sans un mariage à l’origine, il est clair que tous les prob

10 u couple, qui existe à l’état larvé dans le monde occidental depuis des siècles, atteint de nos jours une phase aiguë qu’un seul c

11 euplades primitives, on s’aperçoit que le mariage occidental moderne se distingue de tous les autres par un premier caractère bien

12 onc affirmer que dans l’état présent de nos mœurs occidentales , dans l’atmosphère morale où baignent l’immense majorité de nos conte

13 oésie des troubadours, qui répandit dans le monde occidental la contagion de l’amor de lonh, d’où devaient sortir pendant des sièc

14 t ainsi », c’est qu’à partir du xiie siècle, les Occidentaux ont adopté de plus en plus une morale de l’amour plus glamourous que

15 urquoi les périodes romantiques de la littérature occidentale coïncident avec les périodes puritaines. (Le roman victorien en est l

16 emment, conditionnée par la situation de l’Europe occidentale vers le milieu du xixe siècle, et par la volonté de la changer. En p

17 besoin de chercher est-il si vital dans les monde occidental  ? Concernant la recherche en généralbl, il paraît facile de répondre 

18 nant vers le problème particulier de la recherche occidentale . La civilisation qui est née en Europe a dominé le monde pendant des

19 e culture. Ainsi, chaque réussite de la recherche occidentale crée de nouvelles incertitudes, appelant de nouveaux progrès, c’est-à

20 lles créées par l’évangélisation de la conscience occidentale . D’autre part, si les démocraties capitalistes et individualistes tri

21 nir tel que l’imaginaient la plupart des penseurs occidentaux , jusqu’à ces toutes dernières années. Un certain déterminisme économi

22 nglais d’automation. Il est curieux que la pensée occidentale , découvrant le péril avec cent ans de retard, ait porté sa colère con

23 ui le composent et des chances de la civilisation occidentale dans le monde. Mais elles en dépendent de deux manières bien distinct

24 es confessions distinctes et avec la civilisation occidentale , s’il demeure vitalement attaché aux unes et à l’autre. Mais il peut

25 meilleures chances du christianisme dans le monde occidental comme dans le monde non chrétien résident dans une convergence œcumén

26 uples récemment promus à une indépendance de type occidental se soumettent par là même à l’influence secrète des champs de force s

27 refusent, c’est bien le christianisme d’empreinte occidentale . Aucune autre grande religion — hindouisme, bouddhisme, islam — n’a j

28 s, bien sûr, que tous ces véhicules de la culture occidentale agissent à l’instar d’une armée de missionnaires, et amènent les homm

29 a société et la nature dont seul le christianisme occidental peut expliquer la genèse historique, et dont seul il détient les secr

30 itimement interprété et appliqué, la civilisation occidentale , que le monde entier s’efforce d’adopter, crée partout des conditions

31 n admet qu’en fait l’extension de la civilisation occidentale prépare et appelle une extension correspondante du christianisme, il

32 ue de bien. Première conclusion : la civilisation occidentale peut préparer les voies du christianisme dans les peuples qui l’adopt

33 conception chrétienne du monde et la civilisation occidentale . C’est aux chrétiens unis qu’il appartiendra désormais de prendre con

34 uise pas la question que nous pose l’imprégnation occidentale du christianisme en tant que phénomène historico-sociologique. Si, d’

35 scinés et trop aisément convaincus par le progrès occidental , que ce progrès n’en serait pas un, et qu’il reste impensable hors d’

36 nait. Ils contribuèrent ainsi à ramener la pensée occidentale vers l’universalisme originel et final du christianisme. C’est dans l

37 uer ici que les théologiens et penseurs chrétiens occidentaux n’ont pas attendu pour entreprendre cette tâche immense le challenge

38 arper & Bros, 1957. En français : L’Aventure occidentale de l’homme , Paris, Albin Michel, 1957. 52. C’est de la côte de Mala