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ous comprendrons qu’il eût peut-être mieux valu s’
occuper
de ces problèmes pendant qu’on le pouvait, sauver au moins la possibi
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e l’Assemblée européenne fût privée du droit de s’
occuper
des choses militaires et des choses économiques, s’écriait avec une s
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es qu’évoquait M. Reynaud, car ces armées veulent
occuper
bien autre chose que des terrains, elles veulent occuper le cœur et l
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bien autre chose que des terrains, elles veulent
occuper
le cœur et les esprits de ceux-là mêmes qui pourraient être appelés u
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point de vue de l’adversaire les a, par avance, «
occupés
». Ainsi donc, pratiquement — j’insiste sur le mot « pratiquement » —