1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 de la lumière maritime. Pour mes pensées, je les occupe en attendant à de petits exercices formels, sans nul rapport avec ce
2 and nous étions devant Tamatave, en 1886… ») Il s’ occupe maintenant à fabriquer un filet de quatre-vingt-dix mètres, bel ouvra
3 doutais même qu’elle existât. Elle était là. Elle occupait les longs bancs rangés en chevrons derrière le petit appareil de proj
4 si mal. (Ce qui ne m’a pas empêché jusqu’ici de m’ occuper de politique par exemple… Mais déjà je me sens moins assuré dans ma b
5 e constate qu’ils ne comprennent pas de quoi je m’ occupe . C’est peut-être un secret désir, un inconscient désir que j’ai d’êtr
6 n discute avec passion des mesures à prendre pour occuper les sans-travail, ou tout au moins pour leur donner de la soupe ; on
7 nnaîtraient rien de ce qui les « soucie », amuse, occupe , ou intéresse. Vraiment non, ce chapitre sur « l’origine rationaliste
8 part, contraints. 5. Le fils de la mère Renaud s’ occupe à faire la statistique du village : 45 personnes sont âgées de 80 à 9
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
9 êlent peu à ceux de la place. Enfin ceux qui sont occupés par l’imprimerie du journal local, par les garages ou à la mairie, so
10 , donnez-moi des sensations, mais surtout ne vous occupez pas de cela en moi dont je ne veux pas m’occuper ! » À 10 kilomètres
11 occupez pas de cela en moi dont je ne veux pas m’ occuper  ! » À 10 kilomètres d’ici, hier au soir, pressé de rentrer, je hèle u
12 mais irrémédiable, je serais tranquille : je ne m’ occuperais en bonne conscience que d’art et de littérature. Mais quoi ! rien n’e