1 mot devait prendre un peu plus tard dans les pays occupés par Hitler. Je suis conscient du léger ridicule qu’aux yeux de beauco

2 ravers la ville endormie. Tous les fauteuils sont occupés dans notre voiture et point de couloir libre au milieu. Des bagages à

3 Si l’on traverse en autocar la partie non encore occupée du pays, on n’aperçoit que des traces infimes d’un des plus grands dé

4 oches du Midi ? Pourtant, voici quelques villages occupés par des formations de la légion tchèque désarmée. Et soudain, un peu

5 lus que moi. Il se peut. Dans tout ce bâtiment qu’ occupent les bureaux de mon journal, on croit au diable et on le connaît, mons

6 ce que c’est que l’existence ? C’est de quoi je m’ occupe . C’en est trop pour cet Irlandais. Il fait signe à trois agents « en

7 es en s’inspirant de ce que l’on sait de l’Europe occupée par Hitler, mais aucun fait qu’on puisse énumérer ni leur ensemble ne

8 ents de vous plus que de nous-mêmes. Vous étiez «  occupés  », nous étions en exil, et les uns comme les autres dans l’inaccepté,

9 intime que celle de l’occupation. Un conquérant n’ occupe jamais que l’extérieur, mais l’étranger s’infiltre au cœur de l’être.

10 t puis, vous êtes trop nombreux, on ne peut pas s’ occuper de chacun de vous. Et c’est bien vrai. Nous étions trop nombreux. En

11 ue je me vois contraint de transmettre à l’Europe occupée et torturée les plates déclarations de tel ministre allié, de tel lea

12 ebdomadaire The Nation. Dans une ville allemande occupée par les Américains, un officier en charge du gouvernement civil réuni

13 de la ligue nouvelle. Les deux grands qui là-bas occupent la scène ne sont pas représentés dans cette enceinte. Nous laissons à