1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 bre régulier, vous aurez tous les droits, on ne s’ occupera plus de vous, et vous vivrez à votre guise dans toute l’enceinte déme
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
2 dis, la famine et le bolchévisme. » Cette dame s’ occupe aujourd’hui, comme toutes ses pareilles, à réunir des conserves, mais
3 voir les récits de la guerre dans le Pacifique.) Occupons -nous de dangers plus visibles, et de quelques maux véritables. ⁂ Dans
4 onnaissait réellement le nombre des agences qui s’ occupaient des logements. Depuis lors on a chargé une agence nationale de coordo
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
5 êche de Paris par un correspondant américain, qui occupe chaque matin une ou deux colonnes de son journal, en apprend davantag
6 e la religion, qui n’existe aucunement en France, occupe souvent deux pages entières. Enfin, vous ne trouverez pas dans les jo
7 chacun pense : Que ne l’a-t-elle empêché de s’en occuper  ! Son mauvais goût me paraît irrémédiable, étant celui de l’Américain
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
8 adavre à tous les mariages. » Satan, dit-on, sait occuper les mains oisives. La mère américaine, libérée des travaux qui la mai
5 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 t bavarde avec une amie. Une fille de 12 à 15 ans occupe le téléphone deux heures par jour. À 16 ans, elle prie ses parents de
10 moscoutaire. Ces commissions d’ailleurs ne seront occupées qu’à clamer, la cravate en bataille, des résolutions farouchement pat
11 tis. C’est pourquoi les partis ne s’en sont point occupés , et n’ont point jugé nécessaire de proclamer l’union sacrée, au terme