1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
1 qui fait digue, une haie de tamaris. À gauche, l’ océan invisible derrière le mur ; à droite, des marais salants avec leurs c
2 érer d’un œil brûlé par l’insomnie les flots de l’ océan maussade et les pauvres rivages du détroit, c’est fort apparemment qu
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
3 ion du xviiie allemand. 28 novembre 1933 L’ océan met un grand sous-entendu solennel à toutes les pensées. Il donne de
4 la lande désolée autour de nous ! Proximité de l’ océan . Clameur des masses contre le ciel fatal, et l’homme se tait là-bas,
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
5 ince oubliait, des blés de Beauce aux plages de l’ Océan , voilà le cœur crispé, le cerveau délirant en plein midi du grand cor
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
6 ez le purser, nous n’avons plus devant nous qu’un océan sans douanes ! Dix jours vierges, dix jours durant lesquels on peut i
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
7 ce sol et ce climat. Entre la Prairie proche et l’ Océan , ce lieu d’extrême civilisation matérielle demeure hanté par on ne sa
8 façade à l’autre. Vers onze heures, une rumeur d’ océan s’éleva de la foule qui stationnait à l’ouest du building, se propage
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
9 llais écrire : « L’avion s’élance pour franchir l’ Océan d’un seul bond. Nous volons à tire-d’aile vers l’Irlande ». Mais ce c