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qui fait digue, une haie de tamaris. À gauche, l’
océan
invisible derrière le mur ; à droite, des marais salants avec leurs c
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érer d’un œil brûlé par l’insomnie les flots de l’
océan
maussade et les pauvres rivages du détroit, c’est fort apparemment qu
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ion du xviiie allemand. 28 novembre 1933 L’
océan
met un grand sous-entendu solennel à toutes les pensées. Il donne de
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la lande désolée autour de nous ! Proximité de l’
océan
. Clameur des masses contre le ciel fatal, et l’homme se tait là-bas,
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ince oubliait, des blés de Beauce aux plages de l’
Océan
, voilà le cœur crispé, le cerveau délirant en plein midi du grand cor
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ez le purser, nous n’avons plus devant nous qu’un
océan
sans douanes ! Dix jours vierges, dix jours durant lesquels on peut i
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ce sol et ce climat. Entre la Prairie proche et l’
Océan
, ce lieu d’extrême civilisation matérielle demeure hanté par on ne sa
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façade à l’autre. Vers onze heures, une rumeur d’
océan
s’éleva de la foule qui stationnait à l’ouest du building, se propage
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llais écrire : « L’avion s’élance pour franchir l’
Océan
d’un seul bond. Nous volons à tire-d’aile vers l’Irlande ». Mais ce c