1 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). IV. Berlin : le second Rapport au club de Rome
1 e toutes les limites écologiques. Il asphyxie les océans , les lacs, les villes, au nom de la rentabilité de ses entreprises, q
2 e l’air, des eaux, des plantes, de l’humus et des océans , par les effets combinés d’une industrie brutale, prométhéenne, de la
3 -nationales, avides d’étendre jusqu’aux fonds des océans les ius uti et abutendi, et toute forme de gestion globale, comme dev