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e toutes les limites écologiques. Il asphyxie les
océans
, les lacs, les villes, au nom de la rentabilité de ses entreprises, q
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e l’air, des eaux, des plantes, de l’humus et des
océans
, par les effets combinés d’une industrie brutale, prométhéenne, de la
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-nationales, avides d’étendre jusqu’aux fonds des
océans
les ius uti et abutendi, et toute forme de gestion globale, comme dev