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plus rien. La morte ou la nue Quand tes
yeux
se confondent et que tes bras autour de moi aux limites du monde
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les visages qui fuient — l’éclair noyé dans ses
yeux
détournés ! — tout se refuse au tourment bien-aimé… a. « Mouvem
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e de douceur cette phrase type qui résume à leurs
yeux
la sagesse, la mesure, le bon sens de l’humanité, — et qui renferme a
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des philosophes chargés d’illustrer à ses propres
yeux
la bourgeoisie démocratique. Elle réside avant tout dans l’inconscien
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e puissance, un goût du sang qui les marque à nos
yeux
de décadentisme bourgeois. Nous ne prenons pas à la légère le drame d
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principes dont elles procèdent, et qui sont à mes
yeux
beaucoup plus graves et significatifs. Le mépris dans lequel on tient
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adeptes, le caractère « sacré » que revêt à leurs
yeux
l’idée de patrie préalablement confondue avec celle de l’État, en tém
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e jeunesse déracinée… La crise précipite sous nos
yeux
un processus depuis, longtemps actif. Tant qu’une sécurité sociale et
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ans le temps même qu’elle les distingue. Car si l’
œil
se conforme à ce qu’il voit, il sait aussi qu’il voit, et mesure la d
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s, alors, deux questions se posent : d’où vient l’
œil
? À quoi tend le jugement ? Et voilà notre psychologue obligé de cher
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nnue » par la lumière, de même elle devient à nos
yeux
reconnaissable. Il n’est pas d’autre mouvement que cet élan vers la l
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, d’abord, a été vu par la lumière créatrice. « L’
œil
ne verrait pas le soleil s’il n’était de nature solaire », dit Goethe
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orme informante de notre être et que voient « les
yeux
de la foi », il semble que notre visage n’en soit qu’une mauvaise épr
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ou cette revanche sur le réel qu’elle figure aux
yeux
du romantique ; si elle est au contraire une force concrète, elle est
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trouble et menteur, qu’il nous faut attacher nos
yeux
non plus sur les idées en tant que telles, mais bien sur les idées en
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les ; et tout est vision créatrice. Goethe est un
œil
. Et le chant de Lyncée sur sa tour — c’est le chant du bonheur de la
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ei wie es wolle Es war doch so schön ! « Ô mes
yeux
bienheureux ! » Mais les pauvres yeux douloureux de Nietzsche, non mo
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! « Ô mes yeux bienheureux ! » Mais les pauvres
yeux
douloureux de Nietzsche, non moins que ceux de Goethe, surent voir en
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ntrépides et souverains… J’ai toujours devant les
yeux
le constructeur, je vois comme son regard se repose sur tout ce qui,
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tions particulières, se développent lentement des
yeux
qui n’existaient auparavant qu’à l’état de germes sous-cutanés. (Trav
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rgane » se traduirait ici par « la lumière crée l’
œil
». Je donne cet exemple pour son pittoresque, sans prétendre, naturel