1 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
1 plus rien. La morte ou la nue Quand tes yeux se confondent et que tes bras autour de moi aux limites du monde
2 les visages qui fuient — l’éclair noyé dans ses yeux détournés ! — tout se refuse au tourment bien-aimé… a. « Mouvem
2 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
3 e de douceur cette phrase type qui résume à leurs yeux la sagesse, la mesure, le bon sens de l’humanité, — et qui renferme a
4 des philosophes chargés d’illustrer à ses propres yeux la bourgeoisie démocratique. Elle réside avant tout dans l’inconscien
5 e puissance, un goût du sang qui les marque à nos yeux de décadentisme bourgeois. Nous ne prenons pas à la légère le drame d
3 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
6 principes dont elles procèdent, et qui sont à mes yeux beaucoup plus graves et significatifs. Le mépris dans lequel on tient
4 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
7 adeptes, le caractère « sacré » que revêt à leurs yeux l’idée de patrie préalablement confondue avec celle de l’État, en tém
5 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
8 e jeunesse déracinée… La crise précipite sous nos yeux un processus depuis, longtemps actif. Tant qu’une sécurité sociale et
6 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
9 ans le temps même qu’elle les distingue. Car si l’ œil se conforme à ce qu’il voit, il sait aussi qu’il voit, et mesure la d
10 s, alors, deux questions se posent : d’où vient l’ œil  ? À quoi tend le jugement ? Et voilà notre psychologue obligé de cher
11 nnue » par la lumière, de même elle devient à nos yeux reconnaissable. Il n’est pas d’autre mouvement que cet élan vers la l
12 , d’abord, a été vu par la lumière créatrice. « L’ œil ne verrait pas le soleil s’il n’était de nature solaire », dit Goethe
13 orme informante de notre être et que voient « les yeux de la foi », il semble que notre visage n’en soit qu’une mauvaise épr
14 ou cette revanche sur le réel qu’elle figure aux yeux du romantique ; si elle est au contraire une force concrète, elle est
15 trouble et menteur, qu’il nous faut attacher nos yeux non plus sur les idées en tant que telles, mais bien sur les idées en
16 les ; et tout est vision créatrice. Goethe est un œil . Et le chant de Lyncée sur sa tour — c’est le chant du bonheur de la
17 ei wie es wolle Es war doch so schön ! « Ô mes yeux bienheureux ! » Mais les pauvres yeux douloureux de Nietzsche, non mo
18  ! « Ô mes yeux bienheureux ! » Mais les pauvres yeux douloureux de Nietzsche, non moins que ceux de Goethe, surent voir en
19 ntrépides et souverains… J’ai toujours devant les yeux le constructeur, je vois comme son regard se repose sur tout ce qui,
20 tions particulières, se développent lentement des yeux qui n’existaient auparavant qu’à l’état de germes sous-cutanés. (Trav
21 rgane » se traduirait ici par « la lumière crée l’ œil  ». Je donne cet exemple pour son pittoresque, sans prétendre, naturel