1 et les buts de ces institutions. Les buts, à mes yeux n’étaient pas la puissance et la production, mais « une politique à h

2 M. Bénès ; des deux mains, des quatre pattes, les yeux fermés, d’une croix, d’une faucille et d’un marteau, ou avec plus ou

3 erdu, — comme si tout cela n’était pas nous ? Aux yeux des journalistes qui ont composé ces titres, on dirait que « L’Europe

4 ce et le nombre des étages dans les HLM, etc. Aux yeux des politiciens de droite, l’écologie est un complot contre « la soci

5 t un complot contre « la société existante », aux yeux des politiciens de gauche, sa fin principale paraît être « d’enlever

6 une Europe unie : Nous risquons de voir sous nos yeux s’accomplir l’irrémédiable, c’est-à-dire la fusion de la France dans

7 e mouvement personnaliste ne consiste encore, aux yeux du grand public et surtout des pouvoirs, qu’en une poussière de ce qu

8 crit, merveilleusement, comme autant de « clins d’ œil hors du où »45. Ce lieu qui est non-lieu physique (ou-topos), mais li

9 du terme, qui est en train de se former sous ses yeux et que nous appelons aujourd’hui l’État-nation : Quand une réunion qu

10 ue : Amos Comenius. Ce plan toutefois n’est à ses yeux qu’une partie de la tâche beaucoup plus vaste qu’exposent sa Didactic

11 st bientôt suspect, en tant que Frère morave, aux yeux des luthériens. Il se retire en Prusse-Orientale, puis pour un temps

12 sion purement diplomatique n’eût pas compté à ses yeux . La religion dont il était le fondateur voulait le sacrifice sanglant

13 gique épiméthéen que notre société peut lever les yeux dans l’espérance d’y découvrir quelque forme d’association internatio

14 lgré toutes ses infidélités, l’Europe demeure aux yeux du monde le grand témoin. La conquête suprême de l’Europe s’appelle l