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s. Elles s’écroulèrent à la première épreuve. Aux
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des jeunes gens de l’époque, il fallait quelque chose de plus profond
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rs que l’Europe, malgré tout, illustre encore aux
yeux
du monde entier : une certaine conception de la personne humaine et d
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Europe rajeunie qui deviendrait soudain, pour nos
yeux
étonnés, la Terre promise. 1. Article paru dans La Revue de Paris
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s venons de mentionner. Mais s’il est vrai qu’aux
yeux
des Soviétiques l’épithète injurieuse « d’a-politique » est encore sy
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ientifiques existent, ils sont à l’œuvre sous nos
yeux
. Situation de l’Europe Foyer de la civilisation occidentale, l’
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bat, nous dirions que la culture représente à nos
yeux
l’activité humaine créatrice de valeurs, de sens, d’œuvres nouvelles
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tant à Sem, l’Afrique à Cham — l’Europe est à nos
yeux
une unité de culture. Sur la base de cette unité intégrant les apport
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ore qu’elle ne soit pas toujours bien visible à l’
œil
nu. Elle a donc justifié la raison d’être de l’institution — pour ceu
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ceux qui savent ; plus rarement, il est vrai, aux
yeux
d’un grand public naturellement indifférent sinon aux produits de la
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i restent, qui osent à peine se regarder dans les
yeux
, quand ils savent que deux d’entre eux probablement sont des mouchard
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ps les mérites, curieusement « modernes » à leurs
yeux
, de peintres beaucoup plus anciens, et que leurs successeurs immédiat
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et enrichit sa tradition, la redécouvre avec des
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neufs. Quoi de plus révolutionnaire qu’un Picasso, qu’un Joyce ? Mais
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responsable des guerres absurdes, justifiées aux
yeux
des masses par le chauvinisme culturel — les Français de 1914 croyaie
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es, puis financée par douze gouvernements. Or aux
yeux
du journal en question (pourtant bourgeois, capitaliste et nationalis
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tuelle entre les directions de la recherche ? Aux
yeux
d’un observateur non prévenu, jugeant sur ce qu’il nous voit faire, i
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ilapidations délirantes, et même scandaleuses aux
yeux
des utilitaristes, en lesquelles rivalisent l’URSS et les USA, ce ne
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t. Aujourd’hui, le cinéma leur fait voir de leurs
yeux
nos villes, nos mœurs, le cadre de nos vies et notre luxe matériel, q
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ligner ici que l’association a eu le mérite à mes
yeux
principal, de provoquer la réflexion de tous les dirigeants de festiv
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ligieuses. Les différences entre nous sautent aux
yeux
, et cependant les solutions que nous avons à trouver désormais, face
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s frontières inamovibles qu’on a présentées à nos
yeux
, inlassablement, dès notre enfance. On a donc essayé, tout naturellem
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isation des régions. Citons le cas de Lille : aux
yeux
du gouvernement français, cette ville était une gare terminus et la r