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our être mangée, sinon pour faire encore quelques
œufs
. Elle paraissait inguérissablement neurasthénique. Et voilà qu’hier,
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lle a pondu. Et ce matin de nouveau. De très gros
œufs
, me semble-t-il. (Où va se loger la vanité !) — Le père Renaud était
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34 La poule noire couve depuis hier ses treize
œufs
. J’ai semé des salades, planté des choux, enfoncé une à une des grain
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(Nous attendions depuis deux jours l’éclosion des
œufs
.) Il me semble qu’il se passe des choses au fond du réduit obscur. La
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caquet déchirant : elle serre entre ses pattes un
œuf
à demi-ouvert, d’où sort un long cou maigre, tout humide. Un poulet g
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et gris, déjà séché, palpite au milieu des autres
œufs
. On entend le toc-toc des becs à l’intérieur. Je repose la lourde pou
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es petits : elle arrange tout sous elle : pattes,
œufs
, poulets, en quelques mouvements, ramène deux œufs sous son aile, fai
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ufs, poulets, en quelques mouvements, ramène deux
œufs
sous son aile, fait sortir une coque vide, et reprend, l’œil fixe, so