1
s du nom se réclament aujourd’hui par les bouches
officielles
. Cette idée, c’est l’unité des peuples de la planète, c’est le rêve d
2
sage du dialecte cantonal, en haine de l’allemand
officiel
; et la méfiance glaciale que je m’attirais en parlant le hochdeutsch
3
qu’à hurler avec les loups, à réciter les slogans
officiels
, elle est vide. La libération de la misère. Je pense qu’elle s’est ra