1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 te et diffuse. Profanées et reniées par nos codes officiels , elles sont devenues d’autant plus contraignantes qu’elles n’ont plus
2 chérissons ce malheur, cependant que nos morales officielles et notre raison les condamnent. L’obscurité du mythe nous met donc en
3 ue le rationalisme soit passé au rang de doctrine officielle ne doit pas nous faire oublier son efficacité proprement sacrilège, a
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
4 ù elles se virent condamnées par le christianisme officiel . Et c’est ainsi que l’amour-passion, forme terrestre du culte de l’Ér
5  l’amour embellit son objet », et que la beauté «  officielle  » n’est pas un gage d’être aimé. Mais le platonisme dégénéré, qui nou
6 t.) combat l’opinion courante chez les historiens officiels , et affirme en s’appuyant sur Ch. Molinier qu’on ne saurait prouver q
7 trop scrupuleusement — l’ensemble des positions «  officielles  » de la philologie et de l’histoire littéraire pour ne pas me servir
3 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
8 ulations civiles. En dépit des efforts du lyrisme officiel , d’une certaine littérature et de l’imagerie populaire, le retour du
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
9 ge de visites en haut de forme et « déclaration » officielle , est aussi démodée que les crinolines. Et la majorité des couples n’é