1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 ons, au cours des siècles suivants, puis l’entrée officielle des cités romandes et du Tessin (de langue italienne) portèrent le no
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
2 ette Constitution mérite non seulement l’épithète officielle de « fédérale » mais encore celle de « fédéraliste », et cela pour un
3 on sans apprêt. L’usage courant des trois langues officielles contribue sans nul doute à ralentir les réactions et réflexes verbaux
3 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
4 ratique, dans lequel, par définition, l’idéologie officielle ne pourrait jouer de rôle notable. Quelques-uns des plus grands mathé
4 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
5 ionnelles d’agitation. Cet apaisement, cette paix officielle , traduisent-ils une compréhension mutuelle plus profonde ? On peut en
6 si la religion n’est présentée dans les discours officiels que sous l’espèce de clichés que l’on ressort pour les grandes occasi
7 ar la publication et la lecture de « mandements » officiels , généralement rédigés par les églises. Elle est devenue prétexte à de
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
8 grand ensemble auquel il appartient par la langue officielle et la tradition littéraire. Alémaniques et Romands descendent respect
9 ils possèdent au moins un par canton, l’allemand officiel (Hochdeutsch ou Schriftdeutsch) étant réservé aux journaux, à la litt
10 non pas seulement de la littérature ou des actes officiels , et les expressions locales, héritées d’anciens patois, ne sont pas p
11 dialecte semblable à celui du Milanais. La langue officielle est l’italien, qui n’est pas seulement utilisé par 146 000 Tessinois,