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ons, au cours des siècles suivants, puis l’entrée
officielle
des cités romandes et du Tessin (de langue italienne) portèrent le no
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ette Constitution mérite non seulement l’épithète
officielle
de « fédérale » mais encore celle de « fédéraliste », et cela pour un
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on sans apprêt. L’usage courant des trois langues
officielles
contribue sans nul doute à ralentir les réactions et réflexes verbaux
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ratique, dans lequel, par définition, l’idéologie
officielle
ne pourrait jouer de rôle notable. Quelques-uns des plus grands mathé
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ionnelles d’agitation. Cet apaisement, cette paix
officielle
, traduisent-ils une compréhension mutuelle plus profonde ? On peut en
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si la religion n’est présentée dans les discours
officiels
que sous l’espèce de clichés que l’on ressort pour les grandes occasi
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ar la publication et la lecture de « mandements »
officiels
, généralement rédigés par les églises. Elle est devenue prétexte à de
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grand ensemble auquel il appartient par la langue
officielle
et la tradition littéraire. Alémaniques et Romands descendent respect
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ils possèdent au moins un par canton, l’allemand
officiel
(Hochdeutsch ou Schriftdeutsch) étant réservé aux journaux, à la litt
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non pas seulement de la littérature ou des actes
officiels
, et les expressions locales, héritées d’anciens patois, ne sont pas p
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dialecte semblable à celui du Milanais. La langue
officielle
est l’italien, qui n’est pas seulement utilisé par 146 000 Tessinois,