1 me par les seules forces humaines. Croyance qui s’ oppose rigoureusement au christianisme, s’il est avant tout la croyance au s

2 ivre. Mais alors, en quoi les deux conceptions s’ opposent -elles si radicalement ? C’est en ceci que, pour les uns, le salut est

3 l devient l’antagonisme de deux volontés qui ne s’ opposent pas front à front sur le même plan, mais qui se coupent perpendiculai

4 on de sa vocation dans la cité, ne devra-t-on pas opposer une question préalable, brutale : cette vocation a-t-elle un sens con

5 transformation, ce sont là les deux termes qui s’ opposent dans notre vie, qui commandent notre vocation. La forme de ce monde :

6 e que résume le seul mot de péché — tout ce qui s’ oppose à la venue du règne de justice qu’il appelle. « Nous n’appartenons pa

7 tant du clerc moyenâgeux dans la cité thomiste, j’ opposerai une image moderne, qui est aussi celle d’un chrétien dans la cité, ma

8 listes, de dénoncer et de combattre tout ce qui s’ oppose au libre jeu des vocations dans la cité : dénoncer le capitalisme ave

9 tte chance ? Et comment un chrétien pourrait-il m’ opposer les objections d’un praticisme à courte vue, quand notre vocation chr

10 chrétiens. Tous les autres auraient le droit de m’ opposer la sagesse de ce siècle en faillite, mais nous appartenons à ce qui j

11 Greene, Evelyn Waugh, Siegrid Undset, que peuvent opposer les protestants ? Gide, Chardonne, Paulhan, Thomas Mann, Aldous Huxle