1 1963, L’Opportunité chrétienne. Préface
1 s, avec des hommes que par ailleurs tout semblait opposer sans recours : de Karl Barth à André Breton ou au Père Teilhard de Ch
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
2 nce. C’est-à-dire qu’il ne s’agit pas pour nous d’ opposer au siècle un transcendant verbal, pur et isolé, mais au contraire un
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
3 être perdue, même si celui qui en est l’objet s’y oppose de toutes ses forces ! Car sa révolte même se trouve servir les desse
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
4 rté la passion à son climax. Cet amour lointain s’ oppose diamétralement et point par point à l’amour du prochain selon l’Évang
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
5 ère insaisissable de la doctrine communistebi Opposez les dogmes chrétiens aux axiomes de Marx et d’Engels, les communistes
6 s purement spirituels. Au mensonge spiritualiste, opposons l’argument frappant d’un matérialisme polémique : nous l’appellerons
7 auche reprennent aujourd’hui cette devise, pour l’ opposer au « spiritualisme » autant qu’à la routine et au cynisme des conserv
8 que instant de transformer autour de lui ce qui s’ oppose à son bien souverain. S’il est chrétien, il sait qu’il est membre d’u
9 t, futur, éternité. Je crucifie le Christ et je m’ oppose à son retour. Il n’est donc pas d’» opportunisme » chrétien qui tienn
10 ormes religieuses, du moins dans des formes qui s’ opposent aux commandements du Décalogue, et au devoir d’amour chrétien. Le con
11 t du marxisme, c’est de n’avoir pas su, ou pas pu opposer au mensonge spiritualiste, la vérité du spirituel. Nous n’avons pas à
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
12 s par le roi-prêtre ou par le dictateur, l’Europe oppose l’idée et la pratique d’une remise en question permanente de tout, d’
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
13 mertume, et l’Église qu’il fondera peut-être sera opposée à l’ancienne, au lieu d’être seulement plus vraie, donc plus universe
14 c doublement antiœcuménique. Sa volonté d’unité s’ oppose à l’union. Elle transforme la diversité en division. Alors il y a sca
15 veloppent une doctrine de l’homme. Au conflit qui oppose l’unité et la division dans le plan de l’Église, correspond terme à t
16 l’Église, correspond terme à terme le conflit qui oppose la collectivité et l’individu dans le plan de la société. Et de même
17 utôt d’une succession inévitable. L’individu ne s’ oppose à l’État qu’à la manière dont le vide s’oppose au plein : plus le vid
18 s’oppose à l’État qu’à la manière dont le vide s’ oppose au plein : plus le vide est absolu, plus l’appel est puissant. À bien
19 les mêmes structures et les mêmes ambitions. Ils opposent également à la notion d’unité rigide celle de communion ; à l’Empire,
20 aux nécessités pratiques de la paix. Elle seule s’ oppose à la fois au capitalisme individualiste et au totalitarisme qui en es
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
21 te bourgeoise ou les règles des arts, soit qu’ils opposent à l’anarchie flagrante des esprits quelque orthodoxie restaurée, just
9 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
22 atérielle ne serait plus un homme véritable. On m’ opposera sans doute les utopies de George Orwell et d’Aldous Huxley. Elles déc