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. Or, aujourd’hui, c’est la deuxième Europe qui s’
oppose
à l’union fédérale de nos peuples, seul espoir qui nous soit proposé.
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ainetés nationales et de la puissance matérielle,
opposée
à la première Europe, celle de la solidarité internationale et de la
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urrons survivre aux crises en nous bornant à leur
opposer
fermement nos prétendues « souverainetés nationales », c’est-à-dire d
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gués en énergie sans menacer l’environnement et s’
opposer
par la police à l’exercice des droits démocratiques ; — ni prévenir o
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ux États américains. Le temps de la ligne Maginot
opposée
à la ligne Siegfried est passé. Il y a là un élément radicalement nou